Styles de management et contre-pouvoirs

1. Pour être un bon dirigeant, il faut avoir une certaine proximité avec ses salariés, de la personnalité (du charisme), faire évoluer l’entreprise et mener des actions en rapport avec ses valeurs (protection de l’environnement, action sociétale et en faveur des salariés).

1. La responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) correspond à l’intégration du principe du développement durable dans l’entreprise, les salariés attendent de leur dirigeant qu’ils s’engagent au niveau environnemental, social/sociétale et économique (de manière éthique).

1. Caractériser les styles de management

        DOC 1

1. Pour les styles autoritaire et paternaliste : les décisions sont très centralisées, elles le sont un peu moins pour le style consultatif. Le style participatif correspond à une décentralisation des décisions.
2. L’implication des collaborateurs et forte pour les style consultatif et participatif alors qu’il est faible pour les style autoritaire et paternaliste.
3. Pour les style consultatif et participatif le manager a pour mission d’animer alors qu’il a pour mission de contrôler pour les style autoritaire et paternaliste.

        Doc 2

1. Les différents styles de management évoqué par Léa sont les suivant :

• Management Autoritaire chez Burger Star : les salariés n’ont aucun mot à dire et son contrôlé en permanence voir sanctionné.

• Management Paternaliste dans un premier temps chez BEST Coffee : l’employeur est bienveillant vis-à-vis de ses salariés, les respectes et les récompenses pour le travail bien fait

Le Management est devenu Consultatif puisque l’employeur écoute d’avantage ses                   salariés et tient compte de leurs idées.

1. Léa se sent mieux chez Best COOFEE car l’ambiance de travail y est meilleur elle est respectée, écoutée. On lui fait confiance et elle est parfois récompensée.

        DOC 3

1. Le management pratiqué chez Chrono Flex est participatif puisque les équipe de salariés prennent toute les décisions concernant l’entreprise.
2. Avec ce type de management, tous les salariés sont traités sur un pied d’égalité, il participe tous à la gestion de l’entreprise ce qui est source de motivation et d’implication. Pour certaine décision les salariés peuvent ne pas être d’accord ce qui peut entraîner des conflits et des blocages dans l’entreprise qui peuvent lui nuire (baisse de performance, difficultés économique, …)

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1. Jusqu’à la création de la SCOP le style de management est consultatif puisque Thibault Guilhot consulte ses salariés avant de prendre ses décisions. Ce style de management évolue vers un style participatif puisqu’avec la SCOP les salariés seront tous associés et participeront à la prise de décisions.
2. Avec la SCOP les salariés sont aussi associés de l’entreprise et décide avec Thibaut Guilhot
3. Avec ce type de management, tous les salariés sont traités sur un pied d’égalité, il participe tous à la gestion de l’entreprise ce qui est source de motivation et d’implication. Pour certaine décision les salariés peuvent ne pas être d’accord ce qui peut entraîner des conflits et des blocages dans l’entreprise qui peuvent lui nuire (baisse de performance, difficultés économique, …)

Style de Management : Façon dont un dirigeant exerce le pouvoir et dirige ses collaborateurs

Pour R. Likert il existe 4 style de management :

• Le style Autoritaire (exploiteur)
• Le style Paternaliste
• Le style Consultatif
• Le style Participatif  

        [pic 1]

1. Repérer le rôle des différentes parties prenantes et des contre-pouvoirs

DOC 4 ET 5

1. Les intérêts des actionnaires d’une entreprise peuvent être contradictoires avec ce des salariés, en effet ces premiers sont dans une logique de profit afin de percevoir un maximum de dividendes, ce qui est contraire aux intérêts des salariés qui travailleront avec plus de pression pour être plus productif alors que leur rémunération de sera pas augmenté.

Les usagers et Xavier Bertand souhaite le maintien des lignes pour que les habitants de la région puissent continuer à se déplacer notamment pour travailler alors que le gouvernement veut fermer les lignes qui ne sont pas rentables.  

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