Note de cours dsr 2010 s.2 et 3
Cours : Note de cours dsr 2010 s.2 et 3. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar noemiecarriere • 1 Avril 2020 • Cours • 692 Mots (3 Pages) • 687 Vues
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Notes de cours DSR 2010, cours 2
2 définitions :
- Pasquero + 8 éléments
- Norme ISO 26000
- Comportements
- Principes
- Questions centrales / domaine d’action
3 visions (autres) : Trop basé sur les valeurs des auteurs
- Milton Friedman (1970 qu’il se prononce sur la RSE)
- La responsabilité sociale d’une entreprise est d’accroître ses profits
- La seule responsabilité d’une entreprise est envers ses actionnaires
- Contexte : l’État n’a pas à intervenir dans l’entreprise, les entreprises doivent travailler par elles-mêmes
- Création des richesses, à l’intérieur des règles
- Vision restreinte
- Ed Freeman (1984 qu’il se prononce sur la RSE)
- L’entreprise est responsable devant toutes ses parties prenantes
- Les parties prenantes sont tous ceux qui peuvent affecter ou être affectés par l’accomplissement des objectifs de l’organisation
- Pas vrai qu’il y a une séparation entre l’État et les entreprises
- Vision inclusive
- Alain Deneault
- Vision critique (pas des recommandations mais un constat, conscientiser, pointe des contradictions)
Penseurs qui représente des courants de pensés différents
Note de cours DSR 2010, cours 3
Notes de cours DSR 2010, cours 3
Partie 1
- Que connaissez-vous de l’éthique en affaires ?
- Dates et enjeux :
1960
- Enjeux environnementaux
- Droits civils
1970
- Militantisme d’employés
- Droits humains
1980
- Corruption
- Publicité mensongère
1990
- Ateliers de misères et conditions de travail insalubres
- Fraudes et scandales financiers
2000
- Cybercrime
- Gestion financière (appliqué au secteur financier, fraude, reddition de comptes)
Éthique = L’individu qui prend des décisions avec comme référence la morale
Morales = la référence de l’individu (valeurs, principes, règles)
Comment déterminer si un acte, une décision est éthique ?
- Pour répondre, on fait appel aux traditions éthiques (3)
- L’utilitarisme en gestion
- L’action la plus éthique est l’action la plus utile socialement = l’action qui produira le + grand bien total net pour le + grand nombre de personnes
- Simplicité conceptuelle : calcul coûts-bénéfices économiques
- Critiques :
- Difficiles problèmes de mesures
- Oubli de certains droits fondamentaux
- Quel fâcheux exemple est décrit dans le manuel ? Celui de Ford (Moins cher de données de l’argent aux familles avec des décès que de réparer les voitures qui ont des problèmes et cause ces décès)
- Exemple de Cascade qui achète une meilleure machine pour utiliser des matières recyclées pour faire le papier (coûts-bénéfices gagnant)
- Déontologie (Kant)
- Tradition déontologique : un acte est éthique s’il est fait par devoir sans considérations pour les conséquences (très audacieux)
- Elle se limite souvent aux règles normées appliquées dans un domaine professionnel, précisant le devoir de ses membres
- Implanter soit par la culture ou par les codes d’éthiques
- Critiques :
- Difficiles à appliquer dans des situations particulières de la gestion
- Ne permet pas de dénouer le problème du conflit entre droits et devoirs
- Égalitarisme
- Une action est éthique si elle respecte les principes de justice :
- Justice distributive : répartition équitable des avantages et des fardeaux sociaux entre les acteurs sociaux (mauvaise pratique de distribution : Google ne paie pas ses impôts)
- Justice procédurale : les pratiques et processus qui ont produit le résultat ont-ils été justes ? (procédure qu’on regarde pour voir si c’est éthique) (ex : Maddof, vérifier les procédures des reddition de comptes)
- Justice interactionnelle : évaluation du processus de communication dans la relation (transparence et respect) (juger l’acte par rapport à comment tu communiques avec les parties prenantes; interactions) l’information divulguer doit être compréhensibles
Partie 2
- Organisation amorale
- Culture hors la loi, vivre en prenant des risques, prendre tout ce que l’on peut et s’en sortir
- Organisation légaliste
- Tirer avantage des zones grises, si c’est légal c’est permis
- Jouer avec la loi, sur le terrain de la légalité
- Organisation réactive
- Réagir à des cas graves pour ensuite avoir des codes
- Exemple Nike, suite à des cas, ils réagissent et mettent en place des programmes
- Organisation éthique émergente
- Efforts déstructurés, erreurs dans la démarche, mais c’est mieux
- Organisation éthique développée
- Entreprises certifiées B-Corp (obligé de considérer leur chaine de valeur)
- Profil totalement éthique avec des valeurs-clés choisies avec soin et conditionnant la culture
- Les embauches, formations, licenciements et récompenses sont tous le reflet de ce profil éthique
- Difficile d’appliquer cela dans une multinationale
- Ce fait plus avec les entreprises de taille moyenne
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