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ADM 2205, le système québécois de la santé et des services sociaux

Dissertation : ADM 2205, le système québécois de la santé et des services sociaux. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  11 Janvier 2018  •  Dissertation  •  3 613 Mots (15 Pages)  •  1 890 Vues

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ADM 2205

Le système québécois de la santé et des services sociaux

FEUILLE D’IDENTITÉ

TRAVAIL NOTÉ 1

NOM :

PRÉNOM   :

NUMÉRO D’ÉTUDIANT :

TRIMESTRE : Automne 2017      

ADRESSE :

                                                                                           

CODE POSTAL :

TÉLÉPHONE DOMICILE

TRAVAIL : 

CELLULAIRE

COURRIEL 

NOM DE LA PERSONNE TUTRICE :

DATE D’ENVOI     14 novembre 2017    

Réservé à l’usage de la personne tutrice

DATE DE RÉCEPTION         

DATE DE RETOUR         

NOTE         

Question 1

  1. En effet, bien qu’il faut investir dans les soins de santé, il est aussi important d’avoir une société plus juste,  d’aménager un environnement sain, de développer des communautés, de rendre les choix sains plus facile et de soutenir le développement des enfants et des jeunes.

Dans ce rapport du Ministère de la santé et des services sociaux (2005), nous apprenons que la pauvreté et les inégalités sociales ont une influence déterminante sur la santé. Effectivement, ceux qui risque davantage à être exposés aux maladies et de décéder plus tôt sont, dans toutes les sociétés, les plus pauvres. Dans ce même ordre d’idée, les pays qui subissent moins d’inégalités socio-économique, sont des populations qui vivent plus longtemps et en meilleure santé.

Ensuite, tout ce qui peut être une influence directe dans la qualité des milieux de vie doit être absolument améliorée pour qu’une population soit en meilleure santé (MSSS, 2005). Ainsi, avec une bonne gestion des ressources naturelles, une façon d’occuper le territoire de manière à limité les déplacement et la pollution atmosphérique et les choix écologiques des modes de production des biens et services influencent instantanément la santé de la population.

En plus des facteurs physiques et biologiques, les caractéristiques psychologiques et sociales ont une influence déterminante sur la santé (MSSS, 2005). Les communautés solidaires, dont les notions de cohésion sociale et soutien social sont présentes, ont les capacités de faire des choix et des actions qui mèneront vers le mieux-être individuel et collectif.

Une autre influence importante sur la santé est de rendre les choix sains plus accessibles. Il est prouvé que la majorité des décès est due à la consommation excessive d’alcool, le tabagisme, la sédentarité et une alimentation inadéquate (MSSS, 2005). Il est donc considérable de changer l’environnement pour rendre les choix sains plus simples.

De plus, la santé à l’âge adulte est aussi déterminée par le développement de l’enfant et de l’adolescent. En effet, ces périodes sont capitales dans l’acquisition des compétences et des connaissances qui seront ultimes à la poursuite de buts sociaux et à l’intégration professionnelle (MSSS, 2005).

Pour conclure, il est évident que plusieurs problèmes de santé et psychosociaux peuvent être évités. Pour nous aider à les contrecarrés, « [l]es moyens d’actions résident […] dans l’environnement économique, physique et social, les politiques publiques et les gestes de solidarité. La meilleurs voie pour produire la santé ce trouve exactement là […]. »[1]

  1. Dans la région de Québec, l’abondance de véhicules à moteur sur nos routes est importante. Aux heures de pointe, les gens peuvent rouler à 20km/h entre la maison et le boulot.[2] Cependant, il faut admettre que l’aménagemment des pistes cyclables n’est pas très développé au centre-ville. Il est donc laborieux pour les individus de voyager sécuritairement en bicyclette jusqu’à leur travail. Pour ces raisons, je crois que des plans d'installations urbains, dont des pistes cyclables, inciteraient davantage les travailleurs à troquer leur voiture pour un moyen de transport alternatif, le vélo.

De cette manière, cet environnement plus sain et sécuritaire améliorera la santé de la population en réduissant considérablement une des sources principales de pollution atmosphérique. Même si l’étallement urbain est une réalité dans la ville de Québec, les automobilistes pourraient stationner leur voiture dans un parc-o-bus, entraînant une utilisation limitée de leur véhicule. Il ne faut pas oublier qu’une diminution de la sédentarité sera remarquée et qu’en modifiant l’environnement, il sera plus simple pour les individus de faire des choix sains. En effet, en «déterminant des trajets sécuritaires pour les déplacements à pied ou à vélo […] [cela favorisera] l’activité physique dans les villes et villages.»[3]

Question 2

  1. Le rôle principal du gouvernement fédéral est celui de catalyseur pour que tous les résidents du Canada aient un accès aux soins de santé à un coût accessible dans toutes les provinces. C’est en utilisant son pouvoir de dépenser que «le gouvernement fédéral a fait preuve d’une volonté politique considérable pour promouvoir un modèle progessif […] d’assurance publique des soins médicaux et hospitaliers.»[4]

L’inflation présente dans les années 70 et 80, a fait en sorte que le gouvernement fédéral avait de plus en plus de difficulté à maintenir le même niveau de financement. Ainsi, de par sa diminution de participation financière et, par le fait même de son contrôle dans la gestion des programmes, le gouvernement fédéral propose en 1984, l’adoption d’une nouvelle loi pour protéger le caractère public de l’assurance maladie : la Loi canadienne sur la santé (LCS).[5] C’est grâce à cette loi qu’une visibilité dans le domaine de la politique de la santé à été regagné par le gouvernement fédéral.

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