Grand oral de mathématiques : comment les logarithmes et la trigonométrie ont-ils participé au développement de l’astronomie ?
Dissertation : Grand oral de mathématiques : comment les logarithmes et la trigonométrie ont-ils participé au développement de l’astronomie ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar izduief • 23 Janvier 2024 • Dissertation • 1 178 Mots (5 Pages) • 543 Vues
Grand oral :
-mathématiques-
Question : Comment les logarithmes et la trigonométrie ont-ils participé au développement de l’astronomie ?
Intro : - dire que c’est une des sciences les plus vieilles
- à quoi elle sert (naviguer, etc…)
- à quoi elle doit son développement et à quel point c’est une grande consommatrice de maths
-> question
Première partie : - introduire le sujet de la magnitude des étoiles et son but
- poser un problème avec une étoile avec une magnitude 2x celle de l’autre
( - prendre un exemple )
Deuxième partie : - la trigonométrie pour les distances entre différents astres/étoiles et ce que ça a apporté à l’astronomie
- poser un problème
Conclusion : - limites de l’astronomie
- tjrs bcp de choses que l’on ne connait pas
-> voir une autre conclusion plus intéressante
Question : lien entre ln et log (voir cours ou papier)
Introduction :
Alors que le télescope James Webb détectait 6 galaxies qui ne devraient pas exister et qui ont ébranlé toutes nos théories sur la formation des galaxies après le Big Bang, je me suis vraiment rendu compte que l’étude de l’espace a énormément évolué au cours de l’histoire. En vérité, l’astronomie est la plus ancienne science avec plus de 5000 ans d’histoire. C’est aussi l’une des rares sciences où les amateurs, comme moi, jouent un rôle actif pour son développement. Cette branche de la physique est une science qui a eu énormément besoin des mathématiques et qui a su se développer à ses côtés. Mais comment les mathématiques ont-elles permis au développement de l’astronomie ?
Il y a plus de 2 millénaires, le système de magnitude des étoiles fut créé. C’est un classement des étoiles à partir de leur luminosité défini par l’astronome grec Hipparque de Nicée vers l’an 150 avant Jésus-Christ. Il les classa en 6 catégories, de la classe 1 (éclat estimé maximum) à la classe 6 (éclat minimum observable). De nos jours, grâce aux moyens d’observations beaucoup plus développé qu'avant, comme le télescope James Webb, on peut contempler des milliards d’étoiles et défier une magnitude élargie aux nombres décimaux. On parle ici de la magnitude apparente. On distingue deux principaux types de magnitude : la magnitude apparente qui mesure la luminosité d’un objet tel qu’il apparait dans le ciel nocturne et la magnitude absolue qui mesure la luminosité intrinsèque d’un objet, ce qui correspond à la magnitude apparente de l’objet vu à une distance spécifique. L’éclat d’une source lumineuse est aujourd’hui un nombre décimal mesurée par un photomètre,. Grâce aux tables des étoiles établies par Hipparque, on constate que les classes successives de 1 à 6 correspondent sensiblement à une progression géométrique décroissante des éclats observés dont on peut estimer la raison à 0,4. Cette échelle suit donc une suite géométrique de raison q=0,4.
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