Histoire du droit

Si il ne vient pas de dieu, le pouvoir ne peut venir que des hommes, c’est l’idée d l’origine contractualiste du pouvoir et au XVIIIè siècle c n’est pas une nouvelle idée. Durant le grand siècle, l’école du droit naturel avait déjà avancé cette idée. La Cité (l’organisation politique) n’est pas dans la nature elle résulte du dépassement par l’homme de son état de nature et ce dépassement c’est le contrat. Le contrat ferait passer l’homme de l’état nature à l’état social. Pour autant, tous les penseurs ne sont pas d’accord sur les objectifs des contrats originaires. Thomas Hobbes défend la théorie des contrats, et l’origine ces de garantir la sécurité de l’homme. Si on reste chez les anglais, John Locke, le traité du gouvernement civil, pour lui l’objectif du contrat c’est de garantir la propriété individuelle. Rousseau va donc recevoir ces penseurs un peu plus anciens et il va rédiger en 1762 son contrat social et l’état de nature n’est pas la même que chez Hobbes, pour Rousseau l’homme a perdu en quittant l’état de paisible en nature. Des lors que l’homme passe dans la cité, il rentre dans une organisation politique, le pacte originaire de rendre à l’homme la liberté première qu’il avait. L’objet de pacte est avant tout la liberté. Ainsi, lorsque l’homme entre dans la cité il va aliéné une partie de ces droits mais il va aliéné une partie de ces droits non pas à une personne mais au profit de la collectivité. Une collectivité politique à laquelle l’individu participe à plein de droit. Pour Rousseau, cette communauté devait fonctionner sur le mode de la démocratie puisque la démocratie est censé faire prévaloir la volonté générale en s’exprimant politiquement. De plus, la souveraineté (nationale =/ populaire) devait être transféré du roi au profit du corps social, c’est le peuple pour les autres. Par ailleurs, on a critiqué => il faut chercher à organiser

III- Les projet constitutionnels des Lumières

En premier lieu, les penseurs du XVIIè siècle vont s’intéresser aux régimes étrangers et c’est la qu’on va que les penseurs ne sont pas hostile à la monarchie. Il y a ceux qui défendent une monarchie à l’anglaise et il y a ceux qui vont rechercher un peu plus profondément dans l’Europe continentale puisqu’une partie des penseurs vont mettre en avant le despotisme éclairé.

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