Description du concept des relations internationales

Description du concept des relations internationales :

Le concept lié aux relations internationales est la tragédie des biens communs, issu de l'expérience liée à la simulation. Ce Concept est utilisé pour évoquer les conséquences néfastes du contraste entre la recherche de profit individuel entre les pays et l’utilisation de ressources communes gratuites. Il décrit un phénomène collectif de surexploitation d’une ressource censée être pour le bien de tous que ce soit d’un point de vue économique, sociologique, écologique, environnemental et qui nuit à autrui.

(2)Hypothèse principale :

Dans un contexte où le concept de la tragédie des biens communs s’applique. Les biens n’étant destinés à personne en particulier ou n’ayant pas de propriétaire fixe peuvent faire face au concept de la tragédie des biens communs. En effet, si un bien est laissé sans surveillance et commun à tout le monde alors le risque d’une surexploitation ou d'épuisement du bien est élevé . De plus l’action de l’Homme comme par exemple les pratiques agricoles, l’urbanisation, ou encore l’utilisation des champs de pâturage peut mener a un effet d'érosion cumulatif et irréversible. L'érosion du sol abaisse la productivité de la terre et contribue à la pollution des cours d’eau, des terres et des lacs adjacents. Ainsi, dans le cas de la tragédie des biens communs lié à la simulations si l’effet d'érosion sur les champs de pâturages tend à être cumulatif et irréversible on peut en déduire que le nombre de vache alloué aux ressources communes augmentera au fil des tours et poussera le profit ( le nombre de vaches qu’il reste ) à diminuer. Les indicateurs : LA variable indépendante (VI) est l’augmentation de l’exploitation des vaches et l’effet d’érosion cumulatif. La variable dépendante est le profit tiré sur le nombre de vaches survivantes. Vaut-il mieux continuer d’ajouter une vache dans un pré malgré le fait que les autres vaches n’arriveront peut-être pas à se reproduire ? Chaque acteur dans cette exploitation n’a t-il pas vraiment conscience qu’il n’est pas le seul à renchérir sur le nombre de vaches dans le pré puisque le bien est commun et qu’il pousse chaque individu à surexploiter à son tour ?

(3) Hypothèse concurrente :

Concept des relations internationales : Dans le contexte de la tragédie des biens communs nous pouvons prendre comme hypothèse concurrente le concept de privatisation des terres qui préconise l’idée de mettre en place un droit de propriété pour une ou plusieurs personnes. Les personnes exploitant le même bien commun auraient alors la responsabilité d’une utilisation intelligente de la ressource ce qui pourrait remettre en question la dynamique de la gestion du bien commun dans l’hypothèse générale. En effet, nous pouvons donc en déduire que les bénéfices tirés sur l’exploitation des vaches ne diminuent pas nécessairement au fils des tours même si le nombre de vaches attribuées aux biens de tous continue d’augmenter. Le droit de propriété permet d'accorder une quantité limitée du biens mais qui n’est pas fixe et qui peut augmenter en fonction des conséquences au fur et à mesure de l’exploitation. Cela s'assimile à un quota de vaches par exemple qui serait fixé à toutes les personnes exploitant des vaches. Les indicateurs : la variable indépendante (VI) est la privatisation des terres comme source atténuante des effets négatifs de l'érosion et de la tragédie des bien commun. La variable dépendante (VD) reste le bénéfice mesuré par le nombre de vaches survivantes mais à l'inverse de l’hypothèse générale le quota fixé de vache à exploiter par personne ne poussera pas à une baisse constante au fil du temps.

(4) Revue littéraire :

Le concept de la tragédie des biens communs qui aborde la surexploitation qui résulte de la non-attribution d’une ressource ( ayant donc un caractère “ public”) ce produit dans une situation de compétition pour l’accès le plus bénéfique d’une ressource limitée créant un conflit entre l'intérêt individuel et le bien communs a souvent été étudié dans de nombreux ouvrage. En effet, on retrouve cette première hypothèse dans The tragedy of the commons revisited ( Garrett Hardin, 1993 ). En effet, dans cet ouvrage l’auteur examine le concept de la tragédie des biens communs en s'appuyant davantage sur l’effet cumulatif de la surexploitation des ressources communes face à l'importance que prend le profit individuel. De plus, un autre ouvrage nous permet d’appuyer l’hypothèse principale du concept de la tragédie des biens communs qui est : Environmental economics : An introduction ( Barry C. Field, Martha K.Fiel, 2012 ) et se fonde sur l’exploration des principes économiques liés à l'environnement par rapport à la gestion des ressources communes. Cet ouvrage permet donc de mettre en lumière

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