Analyse film Cotton Club
Commentaire d'oeuvre : Analyse film Cotton Club. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Hughlevik • 20 Mai 2018 • Commentaire d'oeuvre • 3 180 Mots (13 Pages) • 851 Vues
Exposé Jazz
Intro :
Harlem, un quartier de New york.
A New york dans les années 20, le grand quartier au nord dans la peninssule de Manathan, Harlem devient la capitale culturel des noirs américains. Harlem est le centre d'elaboration d'une nouvelle conscience politique et artistique. La vitalité du quartier attire vite les blanc, intellectuel ou bourgeois ainsi fleurissent les théâtre et les cabaret ou de grand jouers de Jazz tel que Duke Ellington, Cab Calloway se produisent.
Un des plus celebre club est le cotton club où les sectacles attire le public grace à la danse et à la musique. Son nom rappelle bien les origines afro-américaines : les champs de cotton.
Le directeur du club etait un gangster Owney Madden : Il inaugure le cotton club en 1923 à New york.
( map : entre Lenox avenue et la 142ème rue).
A Harlem les danseurs de tip tap sont celebres. Leur danse est acrobatique, soutenue par le rythme des pas produit aves des plaquettes metaliques sur leurs semmelles.
Le public des clubs de Harlem est une clientèle selectionées : parmis eux : les etoiles du cinéma tel que Charlie Chaplin. L'entrée est interdite aux afro-américains.
Duke Elligton : (1899-1974). Il est appelé le duc pour son elegance et sa classse. Il devient tout de suite populaire à Harlem en jouant au Cotton club, où il est engagé de 1927 à 1931 avec son orchestre.
Cab Calloway : (1907-1994) : Avec son orchestre il remplace Ellington au cotton club. Ses chansons qui ont le plus de succès offrent une parodie des personnages du ghetto noir.
Le Hi-De-Ho man dont le numéro scénique et le costume outré (zoot suit : veste cent fois trop longue, jusqu'au genoux, trop larges, aux épaules hyper rembourés, aux revers remontant jusqu'à mi manche : couleurs verte, rose, aune, bleue : dériv »s des tenues de gala à queue de pie des chefs d'ochestre européens.
Cab Calloway affirme une identité afro delirante, bien distincte que celles que celles des européens. Il installe pour la premier fois une image noir véritablement original demeusurée et demante.
VIGNA, Giuseppe. L'histoire du Jazz, Musique à regarder. Ill.Studio Boni-Pieri-Critone ; Ed.Massin, 1999, France.
BLUM, Bruno. Punk Sex Pistols, Clash... et l'explosion punk. Ed. Hors Collection, 2007, France.
CARLES Philippe ; CLERGEAT, André ; COMOLLI, Jean-Louis. Dictionnaire du Jazz. Ed. Robert Laffont, 1994.
Dictionnaire : La création du cotton club avait un but : celui d'ecouler l'alcool de contre bande (prohibition dates) = sythème mafieux. L'etablissement applique la formule des grandes revues noirs de Brodway : « Blanc dans la salle, noir sur scène ».
Le cotton club tire partie du « désir d'encanaillement » de la bourgesoie blanche.
Sytème et focntionnement du club : alcool à flot, numéro desabillé, claquettes, orchestres maison ; couplets à double sens, « politique racial draconienne pour rassurer les « happy few » ».
1927 : le club s'orriente vers un Jazz de qualité.
I/ Références à la réalité : le monde du jazz.
montré la situation e l'epoque : historiquement . En quel année a été tourné le film.
- Dans le monde des noirs : gagner les auditions, être le meilleurs dans un domaine artistique (danse, claquettes) etait leurs objectif principale, leurs seule objectif, car peut etre qu'on ne leurs permettait pas d'avoir d'autre domaine de compétence. Le Jazz et la boxe était les deux seules domaines ou on accordait aux noris une reconnaissance. La famille dans la cuisine, toute la famille est dans le show business, la sœur, la mere, les deux freres, tous font des claquettes, dansent... 43.37 « I wanna make it ».
- (extrait du moment où il dis c'est la grande tragédie de ma vie de pas etre noir 56 :O6 « dommage que tu ne soit pas noir, nous t'engagerions ici (au cotton club), et dixie repond « oui, c'est la grande tragedie de ma vie »)
- Dans la maispn de Dixie la mère donne un cours de danse à un petit (les blancs payent pour une éducation artistique) tandis que chez les noirs dan sla cuisine, l'education artistique est quelque chose d'ereditaire (le frère apprend à la petite sœur).
- Les grands noms de l'époque : Herman Stark 14.55 : homme de main reconvertie qui redonnera au Cotton club une image de de qualité en 1927. Gloria Swanson ; charlie chaplin ;
cab calloway (parler de son numero vers la fin)
; duke ellington(27.56) ; fannie brice ; James Cagney) : Owney Madden (19.17). - 17.30 : Entrée dans le monde de la mafia. Les VIP qui sont pété de thunes « in the next room gentleman, there is the best music, food and pussy available in this town », 21.52 : Plan triangulaire autour d'une table. Les 3 mafieux qui dessine le triangle sur lequel repose la société de l'interdit.
- Les différents types de representations et de numeros artistiques :
chant de la femme, avec le ROAR (jazz) 31:53
numero de claquettes (debut du film, et 28:50) - 58.28 : on nous place dans la situation d'un spectateur de l'époque : film de ganster ; ce que le public voyait au cinéma à cette épouqe (séquence de la fumée aussi rappel aux film de ganster 25min 47).
- La machine hollywodienne qui écrase la personnalité de l'acteur 1h00. Encor eune référence à la réalité.
- Surimpression : entrelacs du monde des gansters et du monde artistique. Les deux sont liés et le montage le met en evidence, en image. 1H02.58. Fait historique : 1h08.05 : crise = réalité.
- 1:37:42 : femme noire sur scene qui donne un numero où son image est celle d'une vieille pute (replique du dutchman « ah les noires dis donc ! »
- fait reel : fermeture du cotton club 1:53:05 le boss va en prison.
- Travail sur le décors : décors sompteux ; detaillés, avec des lumoères et jeux de colleurs (oscar du meilleur deco en 1985).
Transition : Le réalisateur embelie l'esthétique de son film. Il montre une réalité avec l'integration des personnages (charlot...etc) mais aussi il embelie l'ambience par les costume, les décors etc.
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