Analyse de spectacle May B

May B

               May B est un spectacle chorégraphier par Maguy Marin. Cette chorégraphe est née à Toulouse le 2 juin 1951. Avant d’être chorégraphe elle a fait des études de danse classique au conservatoire de Toulouse puis elle est rentrée au ballet de Strasbourg et enfin elle part dans une autre direction et va à l’Ecole de Mudra en 1970 à Bruxelles. Elle travaille trois ans sur sa créativité ensuite elle intègre un groupe de recherche théâtrale mais qui ne durera pas, elle sera soliste quatre saisons dans le ballet du XXe siècle sous la direction de Maurice Béjart. C’est seulement après tout cela qu’elle tente de faire ses débuts dans la chorégraphie au côté de Daniel Ambash, elle ce fait connaître après avoir gagné au Concours chorégraphique international de Bagnolet en 1978. Son style de danse ce tourne autour de la danse-théâtre avec des mouvements quotidiens, ses chorégraphie sont très minimalistes comme avec son célèbre spectacle « May B » qui est devenue mythique.

Cette pièce a été crée en 1981 et la première représentation a eu lieu à Angers au théâtre de la ville. La pièce dure 1h30 environ. Les spectateurs ont été choqués et ils ont détestés cette pièce qui casse complètement les codes, aujourd’hui cette pièce est un chef-d’œuvre, elle fait partie du répertoire de la danse. Maguy Marin s’est inspiré des textes de Samuel Beckett. Elle utilise des mouvements du quotidiens et donc très simple qui provoquent de la musicalité a chaque mouvement répétés mais qui est une technique très complexes que tout les danseurs n’ont pas. Maguy Marin ne voulait pas prendre des danseurs seulement pour leurs virtuosité mais juste pour qu’il arrive à faire la difficulté de la musicalité ce qui permet une grande diversité au niveau des corps chez les danseurs ce qui nous permet de peut être pouvoir s’identifier a un ou plusieurs des danseurs sur scène. Du coup cette pièce s’attache au mouvement de la danse-théâtre donc de la pantomime. Dans le spectacle il y a dix danseurs au début et puis a la fin il n’en reste plus qu’un seul.  

                Lorsque la pièce commence la salle entière est dans le noir complet les danseurs arrivent et les lumières ne s’allument pas tout de suite il y a même un long moment avant d’avoir un réel contact avec les danseurs sur scène. Le faite d’être plongé dans l’obscurité la plus total et de voir seulement quelques silhouettes dessinés en blanc cela donne une impression de fantôme ou d’esprit, ce qui est assez anxieux . Ensuite les lumières s’allument et lorsque on a enfin un contact direct avec les danseurs c’est une sortes de soulagement puis d’effraie car oui après avoir penser apercevoir des fantômes on voit d’affreux personnages, tous différents des uns des autres tous habiller pratiquement de la même manière du moins ils étaient tous en blanc et peint d’argile partout sur le corps ( visage, bras, cheveux …). Mais au final toutes ces différences deviennent peu a peu très belle. Les danseurs sont disposés de manière désordonné et à la fois très ordonné de sortes a ce que chacun est sa place .                                          

On remarque que le décors est assez simple a vrai dire il n’y a pratiquement rien le plateau est noir et au fond on peut voir des portes. Puis tout d’un coup a un moment ou on ne s’y attend pas et en même temps on attend que cela ils se mettent tous a avancer tous de la même manière, du même pieds, à la même allure et enfin on comprend ce qu’est la musicalité toute définitions prends son sens. Maguy Marin a penser a tout lorsque les danseurs commencent tous à avancer ils ont des chaussons aux pieds qui lorsqu’ils avançaient cela permettait de laisser des traces blanche et on voit apparaître un premier sujet de la pièce celui de la mort car toute ces traces blanches font penser aux traces qu’on laisse après notre mort. Donc au bout de quelque minutes le plateau tout entier devient blanc grâce a toutes ces traces faites par les danseurs. Grâce à la pantomime c'est un spectacle assez simple a comprendre car ce ne sont rien de plus que des gestes du quotidien que nous faisons tous ou que nous avons tous déjà fait. Très rapidement on s’aperçoit que ce n'est pas un groupe mais une seul personne parce que si on fermée les yeux on entendait qu'un seul pas, qu'un seul mouvement à la fois: ils ne faisaient qu'un. Et d'ailleurs très rapidement ils rassemble et marchent et dansent tous ensembles de diagonales en diagonales puis a un moment ils se mettent au centre de la scène et font un geste qui au départ est le même mais qui est interpréter différament par exemple l'un peut avoir la têt plus basse l'autre peut avoir la main qui tremble plus ect... tous pour montrer qu'ils pleurer et qu'ils étaient tristes. Je me souviens qu'après avec des amis nous avons rigoler de la scène où ils se mettent tous en cercle et dans le silence le plus total ils se mettent à "glousser" et nous avions beaucoup rient en essayant de le reproduire et on s'est très vite rendu compte qu'il n'y avait rien de drôle mais que c'était très technique, je pense que si on s'est tous mis à rire sur cette scène c'est parce que cette scène est absurde et que l'humain la seul façon de réagir à cela est soit de rire soit d'être totalement choquer et on voit bien que les génération évolue puisque au début tout le spectacle est choquant et au final il est juste pris au sérieux, compris, réfléchi et parfois on ris parce que on peux ne pas comprendre tout de suite mais c'est en se posant des questions après que l'on comprend. Pour moi cette scène était comme un appel à l'aide comme si ils étaient tous la a essayer de dire quelque chose que personne ne pouvais comprendre comme si ils étaient tous enfermer dans un seul même bateau et que personne ne les entendais ce qui na fait que les liés tous les uns au autres. Le spectacle continue toujours dans cette musicalités dans le silences qui est impressionnantes et vient le moment où ils arrivent tous au bord de la scène plus effrayant qu'ils ne l'étaient déjà et d'une manière très liés ils enlèvent tous leurs chaussons qui avaient blanchis entièrement la scène.Une transition s'effectue ils se mettent tous en groupe et disent tous en coeur quatre phrase avec un temps de silence assez long c'est phrase sont seulement des temps de chorégraphie: "fini"; "c'est fini"; "ça va finir"; "cela va peut être finir".[pic 1]

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