DM de SVT: le recours aux pesticides

Corentin Balédent                        1L

Devoir-maison

Exercice 1 :

                Le recours intensif de pesticide a des conséquences néfastes sur l'environnement. Utilisés fréquemment et à fortes doses, les pesticides, dont le but était d'éliminer certains insectes nuisibles pour les récoltes, ont eu l'effet inverse. Plusieurs espèces d'insectes sont devenus pour la plupart résistant à un, voir plusieurs, insecticide. Plus grave encore, certaines espèces de prédateurs utiles pour éliminer une espèce nuisible, se voit elles-mêmes détruites par un pesticide. Ceci entraîne alors la propagation en nombre important d'organismes nuisibles.

                  Sur les cultures, le DDT, que l'on utilisait pour protéger les récoltes, a eu un effet dévastateur  sur les oiseaux et sur la naissance de ceux-ci. Par exemple, chez les faisans, la forte concentration de ce produit entraîna une ponte d'œufs endommagés. Le DDT a également eu d'autres effets nocifs pour les agrumes de Californie. Les cochenilles ont résisté à l'insecticide tandis que celui-ci a provoqué la destruction massive des insectes naturellement prédateur de la cochenille. Les cochenilles se mirent donc à proliférer, d'où la menace pour la culture d'agrume. En stoppant le DDT, on a constaté que les cochenilles disparurent.

                Limiter l'utilisation des pesticides s'avère nécessaire pour protéger certaines espèces. Les substances chimiques utiliser pour augmenter les rendements agricoles ne sont pas bonnes pour l'écosystème, il faudrait peut-être produire moins, mais produire mieux en outre un usage raisonnable de pesticides.

Exercice 2 :

A)                L'attaque des plants de pomme de terre a commencé à cause du champignon Mildiou, venu d'Amérique par le trafic en mer. Ce champignon produit des tâches brunes qui apparaissent sur les feuilles là où se fabrique les substances du tubercule, d'où un empêchement de la production.

Un insecte nuisible, le Doryphore, se nourrit des feuilles du tubercule. En se nourrissant ou en détruisant ces feuilles, insectes et champignons détruisent le tubercule car c'est dans les feuilles qu'a lieu la fabrication des substances nécessaires à sa production.

B)                Dans le cas de la pomme de terre, l'utilisation des pesticides est nécessaire car, comme on l'a démontré, Mildiou et Doryphore sont de véritable fléau pour le tubercule. A l'aide d'un traitement mixte on combat les 2espèces. Comme le montre le tableau, il y a une grande différence entre les cultures traitées et non traitées. Les tonnes par hectare et par an sont nettement augmentées lorsqu'on utilise un pesticide. Il en est de même avec la qualité de la pomme de terre. La teneur en amidon est supérieure lorsqu'on traire les cultures. En traitant les plants de pomme de terre, productivité et qualité sont améliorés. L'alimentation de la population en est sauvegardée.

Exercice 3 :

      Dans le document 1, on nous parle d'un papillon dont les chenilles causent des dégâts important sur le maïs. Il s'agit de la pyrale. Leurs chenilles creusent des galeries dans la tige du maïs ce qui le détruit. On emploie de préférence une méthode biologique pour protéger le maïs : on relâche de minuscules guêpes sur les cultures, les œufs des guêpes détruisent les embryons de la pyrale. Avec cette méthode, on arrive à traiter une zone plus grande, le coût est moindre, le traitement marche aussi bien qu'avec les pesticides, la nature est préserver (pas de menace envers d'autres insectes) et son efficacité est durable.

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