Le protectionnisme est-il souhaitable ?

 Le protectionnisme est-il souhaitable ?

Depuis de nombreuses années, l’économie ce voie fleurir à travers de nombreux nouveau systèmes. Des systèmes économiques basée sur les échanges entre ces différents pays. Par exemple nous avons l’Europe qui est le principal modèle des échanges. Néanmoins, ils existent toujours des pays qui cherche à se développer seule, et ne pas laisser ces marchandises et ces spécialisations aller dans d’autre pays.

Nous pouvons définir le terme de protectionnisme, qui est un système qui consistent à protéger l’économie d’un pays contre la concurrence étrangère au moyen de mesures tarifaires comme des droits de douanes, et non tarifaire comme des quotas, normes… Nous pouvons de plus définir l’inverse du terme de protectionnisme, le libre échange est un rapport économique fondé sur le principe que plus les pays échangent des produits, des capitaux et des services, plus leurs économies sont susceptibles de prospérer.  Selon ce principe qui se situe au cœur de la mondialisation, la spécialisation de la production est à l’avantages de toutes les parties.

A travers ces deux systèmes économique opposée, nous viendrons à nous demander si le protectionnisme est-il souhaitable ?

Afin d’argumentée ce sujet, nous allons dans un premier temps, quels sont les conditions qui permettent le protectionnisme, les deux principaux critères. Enfin, dans un second temp, nous allons voire que le protectionnisme est un système économique particulier et qu’ils engagent d’important inconvenant, et que celui-ci est contraire aux libre-échanges.

I/ Le protectionnisme est mis en place seulement sous certaine condition.

Les théories de Smith et Ricardo, sur l’ouverture international conduit à se spécialiser. Ce qui comporte alors à abandonner certaine production dans lesquelles le pays ne comporte aucun avantage absolu et comparatifs. Le protectionnisme peut servir à protéger l’industrie de la concurrence étrangère, qu’elle soit vieillissante ou naissante. Elle consiste aussi à garder des emploies et éviter la spécialisation et donc l’abandon de certaine maitrise dans lesquels nous ne sommes pas spécialisé.

A/Le protectionnisme peut se justifier pour aider les industries vieillissantes.

Nous pouvons utiliser le protectionnisme pour protéger les industries dites « vieillissantes », c’est-à-dire, les industries implantées depuis longtemps dans le Pays. Nous avons ici, la concurrence extérieure qui menace grandement les anciennes entreprises. Ainsi, le protectionnisme qui peut être tarifaire ou non tarifaire vise à préserver l’emploi et doit permettre aux entreprises de retrouver une compétitivité pour ne pas laisser les entreprises concurrentes étrangères envahir le marché national. En effet, les coûts des entreprises étrangères étant très compétitifs, qui menacent les entreprises locales qui risquent leur fermeture et donc une perte d’emplois. Nous avons par exemple, la Chine qui représente un danger pour ses entreprises locales puisqu’il s’agit du Pays ayant les coût salariaux horaires plus faibles, que l’on appelle pays atelier. Dans le deuxième document par exemple, qui est un texte montrant les situations et les subventions que la Russie à mit en place afin de protéger ses industries de la concurrence extérieur, d’après la commission Européenne en 2018. Nous pouvons voire que la Russie à mit en place des restrictions des participation étrangères a des projets d’investissement, afin de privilégier les entreprises locales. Des obstacles qui concerne les secteurs du ciment et du secteur pharmaceutique avec des certification obligatoire. Mais aussi avec des aides financiers pour les entreprises du secteur automobile et des machines agricoles qui opère en Russie.

B/ elle peut aussi se justifier pour la promotion et le développement des industries naissantes

le protectionnisme est le contraire de l’échanges, elle permet le développement des industrie naissantes, il faut protéger les industries naissantes car elles sont encore fragiles pour faire face à la concurrence extérieure. Pour devenir compétitives, il faudrait d’abord atteindre un certain volume de production pour être rentable. Le protectionnisme permet d’empêcher que les produits étrangers soient plus rentables que celle de la nouvelle entreprise qui cherche à stabiliser sa loi de l’offre et de la demande. Les produits étrangers sont déjà rentables et stabiliser et ils produisent en masse, et donc leurs prix serait moins importante que celle des nouvelles entreprises. Par conséquent, les nouvelles entreprises seraient amenées à disparaitre rapidement. Pour les protéger, il faudrait alors envisager le protectionniste jusqu’à ce que ces entreprises naissent et grandisse. On peut surtout y faire face avec des mesures tarifaires. En effet grâce aux droits de douane, les taxes sur les importations seront donc relativement élevées, qui pourra alors entrainer une hausse des prix des produits importés. On remarque par exemple que les taxes sur les importations sont plus élevées dans les Pays en développement que dans les pays riches, comme nous montre le premier document, qui est un tableau de CEPII datant de 2018, qui nous montre les droits de douane en pourcentage du prix des produits importés dans différentes situations démographiques et dans le monde. Nous pouvons y voire que dans le monde les droits de douanes des prix des produits importés sont passée de 6.9% en 2001 à 4.2% en 2013. De plus, cette situation est expliquée par les pays en développement, avec un taux de pourcentage de 13.5 en 2001 contre 6.9 en 2013, cela montre une forte diminution qui équivaut presque à la moitié. On peut expliquer cela par le protectionnisme des nouvelles entreprises, afin de les faire évoluée et donc de les exportés de manière efficaces dans le commerce mondiale. De plus avec le quatrième document qui est un tableau nous montrant l’évolution de l’emploi salarié dans l’industrie manufacturière, on peu voire que sur 4 domaines d’activités, seulement un reste équitable depuis les années 2000, et que les trois autres secteurs diminuent. Par exemple pour les industries manufacturières, il est passé d’une base de 100 en 2000 à un niveau à 75, de même pour les biens d’équipement et dans la fabrication de matériels de transport. Nous pouvons remarquer que l’industrie agroalimentaires légèrement diminuer, passant d’une base de 100 à un niveau de 98 en 2017. On peu expliquer ceci, par la mise en place du libre-échange, l’industrie manufacturière s’est principalement investit dans l’agroalimentaire, d’où Vien la spécialisation de la France. Néanmoins, nous pouvons voire que cela porte tout de même des cotées négative au libre-échange, car nous perdons notre savoir-faire dans d’autre domaine qui nous rendent dépendant des autres depuis l’évolution de l’Union Européenne et la délocalisation de nos entreprises. On peu donc en conclure un avantage comparatif lorsque nous protégions une industrie naissante.

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