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Justice sociale

Dissertation : Justice sociale. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  11 Septembre 2019  •  Dissertation  •  712 Mots (3 Pages)  •  1 388 Vues

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Nos sociétés démocratique sont basées sur la méritocraties, c’est à dire que chacun a une place dans la société selon son mérite. Néanmoins cela entraîne des inégalités.

La lutte contre les inégalité est reliée à la notion de justice sociale. La justice sociale c’est réduire les inégalités de façon à ce que tout le monde ait les mêmes chances.Les pouvoirs publics interviennent pour pouvoir réduire ces inégalités.

Les pouvoirs publics sont l’ensemble des administrations centrales, locales et organismes de protection sociale. Les sociétés démocratiques se caractérisent par la recherche de l’égalité. Selon Alexis Tocqueville, l’égalité distingue trois dimensions.

Les pouvoirs publics cherchent à promouvoir l’égalité de situation, c’est-à-dire que tout le monde doit disposer d’un même accès à une ressources socialement valorisée, en réduisant les inégalités de revenus par la mise en place de la redistribution qui sont des prélèvements/cotisations sociales réaliser sur les revenus primaire des ménages pour verser des revenus de transfert sous formes de prestations social.

En France, en 2012, les 10 % de la population la plus modeste (D1) avaient un montant annuel moyen de 4128€ avant la redistribution tandis qu’après la redistribution leur revenu disponible (ce qui leur reste pour épargner, consommer…) est de 9948€, soit 2,4 fois plus de revenus disponible après la redistribution. (document 1). Les 10 % de la population la plus aisées (D9) avaient un montant annuel moyen de 72195€ avant la redistribution et après la redistribution, leur revenus disponible est de 56654€, soit une baisse de leur revenus initial de 21,5 %. (document 1)

L’écart de revenus entre D1 et D9 avant le redistribution est de 68067€ tandis qu’après la redistribution, l’écart est de 46706€, soit une différence de 21361€.(document 1)

L’État cherche à promouvoir l’égalité des chances qui elle est basée sur la méritocratie, c’est à dire tout le monde a les mêmes chances de réussir et le premier sera le plus méritant.

L'égalité des chances renvoie à la situation où non seulement on donne à chacun le droit d'accéder à n'importe quelle position sociale ou à n'importe quel bien, mais en plus on garantit à tous les mêmes chances d'accès au départ.

Les inégalités liées à des différences de mérite ne sont pas injustes. (docmmuent2) On peut accepter des inégalités si elles ont pour but de réduire d’autres inégalités. On ne recherche plus l’égalité mais la justice sociale/l’équité.(document 2)

Une situation est équitable si le degré d’inégalité et les formes qu’elles prennent sont considérés comme étant justes.

La notion d’équité n’est pas une notion objective, elle dépend du critère de justice sociale. Dans les sociétés démocratiques, cette égalité des chances se traduit pas exemple par l'absence de discrimination observée entre fille et garçon dans la poursuite d'étude. Cela suppose qu'aucun avantage lié au genre ne conditionne l'accès à telle ou telle école du supérieur, ni n'influence les résultats scolaires.

Et enfin les pouvoir cherchent à promouvoir l’égalité de droit,

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