Lecture et Suivie du Livre I du contrat social de Rousseau
Analyse sectorielle : Lecture et Suivie du Livre I du contrat social de Rousseau. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Sarah-3 • 2 Novembre 2018 • Analyse sectorielle • 1 275 Mots (6 Pages) • 1 046 Vues
Lecture suivie du Livre I du contrat social, Rousseau
Cette oeuvre est issu d’une ouvre que Rousseau n’a jamais pu fini qui est « institutions politique » est dans lequel Rousseau avait entreprit de faire toute l’histoire des institutions politique de Rome jusqu’à nos jours. Dans le contrat sociale Rousseau va défendre l’idée de démocratie directe ou participative puisqu’il considère que la démocratie indirecte ou représentative est une sorte d’aristocratie déguisée. La démocratie pour Rousseau n’est réel que si le peuple vote réellement les lois sans quoi je ne me sens pas moralement engagé à l’égard de la loi.
PRÉAMBULE
-quelque au singulier = une syn. Quelconque
-Il recherche quelque règle d’administration
-ce que cherche Rousseau c’est le principe qui doit administrer c’est-à-dire ici, organiser l’ensemble des relations humaine, à l’intérieur d’une société ou d’une communauté. Ce principe doit concilier des choses en apparence contradictoire. Ce que Rousseau veut concilier c’est un principe d’organisation politique qui concilie à la fois l’exigence morale de justice qui fait qu’on ne peut pas gouverner des hommes comme on peut gouverner des choses mais aussi l’efficacité ou l’utilité technique qui oblige à tenir compte de la réalité tel qu’elle est. Par cette idée Rousseau met en évidence à la fois la noblesse et la difficulté de l’action politique. La noblesse vient du fait que la politique n’est pas une simple action technique mais elle a nécessairement une dimension morale qui vise ou qui a pour fonction de réalisé des idéaux moraux, de justice, d’égalité, de liberté.. Autrement dit la politique contient en elle l’idée de progrès morale. Donc la politique contient cette idée de progrès morale, elle n’est pas qu’une fonction technique et l’efficacité n’est pas le seul critère. C’est pourquoi l’action politique est plus difficile qu’une simple action technique, puis qu’il ne faut pas simplement agir sur les choses mais il faut en plus qu’il y ait un progrès morale, matérialisé, rendre réel des idéaux qui n’existe pas dans la nature. C’est ce qui explique enfin que les progrès en politique soit extrêmement lent et que le temps politique se mesure à l’échelle de l’histoire. Par cette prise de position Rousseau s’oppose à la vision pragmatique de Machiavel qui ne voit lui la politique que comme une problème purement technique, voir ce qui est efficace sans se soucier de ce qui est moralement juste ou convenable pour gouverner les autres.
Paragraphe 2 et 3 :
Après avoir présenter son projet, Rousseau va maintenant le justifier. Il y répond globalement par 2 arguments qui sont présenter de manière disproportionné :
-1° phrase du paragraphe 2 = 1° argument : parce que c’est un sujet essentiel (politique), un problème essentiel car c’est l’organisation politique qui détermine strictement la qualité d’existence de chacun
-Il justifie ensuite son projet par son statut de citoyen, quand on est citoyen dit Rousseau, s’intéresser à la politique n’est pas simplement un droit, c’est aussi et surtout un devoir.
Supériorité de la démocratie d’un point de vue morale puisqu’elle reconnait une égalité intellectuel, mais il montre en même temps que la démocratie est le régime les plus exigeant avec les hommes, puisque elle oblige chaque citoyen à s’intéresser à la politique et donc à y réfléchir. Enfin, que celui qui vote sans réfléchir est celui qui annule lui-même la valeur même démocratique de son vote. On voit donc que le droit constitutionnel de voter ne suffit pas à fonder en réalité la démocratie, c’est pour cela qu’un peuple qui vote sans réfléchir n’est plus un peuple.
CHAPITRE 1
Dans le paragraphe 1 Rousseau va présenter tout simplement le problème. Le problème qu’il veut résoudre
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