Le doute

 il faut douter de tout, mais à la différence des sceptiques qui sont victimes de leur propre doute (qui n'est finalement pas le leur, puisqu'il leur est imposé), des penseurs comme Platon et Descartes proposent un doute qui est entièrement volontaire tout en étant nécessaire. 

Comme chez Descartes, il consiste à régresser vers le noyau dur de certitude, et à reconstruire les faits à partir de ce noyau. 

Le doute parait inévitable si l'on refuse de se laisser berner par les berceuses de l'opinion. Mais si l'opinion est confortable et efficace, alors il est nécessaire de se demander dans quelle mesure le doute est une obligation, et dans quel objectif il faut le pratiquer. 

 REPONDRE AU QUESTION UNE A UNE APRES DANS CCL

        Une fois que le doute c’est épris de moi je n’est plus réussis à m’en débarrassais, tout ce qui m’entourrais et devenu une interrogation. Je doutais d’absolument de tout. Des crises d’angoisse et d’anxieté me sont apparus, je ne savais plus faire la difference entre réalité et illusion. Ma mère qu’était t-elle sans le lien biologique ? La réalité visible et sensible était-elle la meme pour tous, était-elle reellement réel ? Vivions nous tous dans un monde inventé de toute piece ? Mais enfin et surtout la question qui m’obsedait était celle de la mort car je doutais de tout y compris de ma propre vie, mais ce dont j’étais sur c’est qu’un jour j’aller quitter cette terre avec l’espoir d’un monde meilleur derriere… Alors ce doute, cette remise en question de tout ce que je savais et connaissais n’était-elle pas une perte de temps ? « Faut-il douter de tout ? »

Douter, c’est remettre en cause, hésiter, mettre en suspend son jugement. Douter vient d’ailleurs du latin « dubitare » qui signifie balancer entre deux choses. Douter, c’est donc rester dans l’expectative. Mais est ce que çela est nécessaire dirais-je même est ce que cela est obligatoire étant donné qu’il faut, est ce donc imperatif. Mais enfin et et surtout doit-on, dans la mesure ou l’on doute, remetre en question absolument tout ? Ce doute que nous explorons doit-il être total , géneral doit il etre absolue.

Le doute total est-il nécessaire pour avancer ? Sans limite ne devient il pas un danger incontrolable qui au contraire nous fais reculer ?

Nous verrons dans un premier temps que certes oui, il faut douter de tout. Nous verrons dans un second temps que cependant le doute a ses limites. Puis enfin pour atteindre une sorte d’apogée philosophique nous comprendrons et expliquerons qu’afin que notre doute total sois bénéfique il doit néanmoins être maîtriser.

Ccl : Au bout d’un moment les idées doivent devenir action si l’on veux évité que le doute sois incontrolable. Pas de panique nos idées une fois dites ou devenu action peuvent etre ephemere, on pourra plus tard les remettre en question et en doutais a nouveau , mais il faut necesserement un temps de certitude pour ne pas se perdre dans une spirale inerminable d’interrogation existencielle sans réponse . L’Homme necessite d’avoir des certitude pour avancé mais également d’un doute total à certains moment afin de trouver son équilibre. Il faut en effet evité la contreproductivité, le doute doit etre doser et fait avec méthode pour etre bénéfique dans le cas inverse on stagne entre certitude et incertitude sans réponse. Il faut faire un pas en arriere dans la certitude grace au doute total de tout ce qu’on connaît pour pouvoir ensuite faire métaforiquement deux pas vers l’avant, grace a de nouvelles connaissance qu’on a pu trouver en remettant ponctuellement tout en question.

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