La morale et les devoirs
Cours : La morale et les devoirs. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jojo_nawes • 1 Mars 2017 • Cours • 3 529 Mots (15 Pages) • 845 Vues
La morale et les devoirs
↳ Les devoirs
↳ le bonheur
↳ la liberté
Introduction
L’adolescent déteste que ses parents, ses éducateurs lui fassent la morale. Il se rebelle même contre les interdits, qu’il perçoit généralement comme des conventions sociales, variables d’une société à l’autre. Il juge les valeurs de ses parents démodées voir ringardes.
Pour certains adultes également la question morale semble sans objets, inutile. En effet pour quoi se posé la question de la morale puisque le problème morale semble résolu par la société et ses par ses lois. Il suffirai de respecter les lois de la société pour se comporté comme un être morale. En effet très tôt l’enfant apprend ce qui est bien ou mal, ce qui est interdit ou obligatoire en société. L’adulte compte à lui est censé savoir ce qu’il doit ou pas faire, en fonction du droit, de la religion, des règlements, des codes et de la déontologie. En outre, dans chaque milieu sociale il y a ce qui ce fait et ce qui ne ce fait pas, dans un milieu aristocratiques il est de bon temps de surveillé son langage et d’adopter des manière policées, civilisées; dans un milieu populaire on emploiera un langage plus directe et des manière plus familière.
Par ailleurs, les commandement religieux interdisent de consommer de la viande de porc, à d’autres de manger la vache sacrée… Il semble donc qu’au sein de la société il y ai une avalanche d’obligations et d’interdits, au point qu’on s’en passe de la morale.
Dans ce contexte l’interrogation moral à t-elle encore un place? Une personne peut-elle se contenter des règles sociales ou doit-elle se constituer? et pourquoi une morale? Qu’est-ce que la morale? Et quelles sont ces fondements? La morale n’est-elle qu’un ensemble de convention ou bien est-ce l’exercice réelle de la liberté?
Le domaine moral
La vrai morale est personnelle
Vocabulaire:
était / Etat = 1° situation / 2° organisation politique
Déontologie : devoir moral des professionnelles
Remarquons tout d’abord qu’on ne peut parler de morale qu’au sein de la société, que dans la relation à autrui, pour le sauvage de Rousseau ou pour Robinson Crusoe rien est interdit ou obligatoire. La situation de l’homme solitaire est une condition d’ammoralité. Ces seulement permis d’autres individu qu’un homme peut être : égoïste ou généreux, fourbe ou loyale… toute morale implique une relation à autrui, elle n’a de sens que dans cette relation donc dans une société. Ce qui ne signifie pas quel morale sociale avec ses interdits et ses obligations prennent en charge le problème morale. Tout au contraire.
La question morale serai réglée si une société formé un tout cohérent, mais chaque société est constitué de groupe être sous-groupe ayant des conceptions diverses du bien et du mal. Et le problème de la morale c’est moins le choix entre le bien et le mal, mais le choix entre le bien et le bien. Il en result un véritable complexe de norme au milieu des quels un individu devra trancher. Par exemple le prêtre prie entre déontologie et civisme. La déontologie c’est le secret de la dénonciation et le civisme c’est le devoir de la dénonciation. Situation du médecin qui est prit entre le secret médical et déontologie le devoir de porter secours à toute personne en danger. C’est encore l’exemple du révolutionnaire qui est prit en conflit entre l’action violente qu’il juge nécéssaire et ces devoirs du respect de la vie humaine. Ouvrage: Les justes de Camus. C’est également la situation du soldat qui a reçu l’ordre de tuer et qui ne parvient pas à s’y résoudre. Toutes ces personnes sont amenées à se poser une même question qui est celle du philosophe Kant : que doit-je faire, quelle est mon devoir?
B. Le jugement normatif
Cette question est formulé à la première personne du singulier pour bien montrer que la question morale est d’abord une question personnelle, c’est la question morale par excellence. Cette question ici montre que je suis libre, se posé cette question c’est affirmé sa propre liberté, elle montre que je suis libre. Si on était pas libre on ne pourrai pas se posé cette question.
La morale n’existe comme le montre Kant, que dans l’autonomie (nomie=loi + auto=soi-même-contraire = hétéronomie autre different+loi).
Comme dans la cité ou le citoyen n’est libre qu’en obéissant à loi qu’il à lui même choisit, la personne n’est libre qu’en obéissant à la loi morale qu’elle à elle même choisit.
Cette liberté est essentiel car c’est d’elle que vient la responsabilité sous la forme du remord, du poids de la faute ou au contraire de la fierté d’avoir bien agis. Le criminelle qui éprouve des remords sait bien qu’au moment de ses actes il avait le choix, il aurai pu passer son chemin plutôt que rentrer dans a banque, il aurai pu choisir des armes factices au lieu d’utiliser de vrai armes. Et qu’au lieu de rentrer dans la banque il aurai pu s’abstenir.
La question que dois-je faire s’énonce en therme de voir et non de faits, le jugement morale est en fait un jugement normatif(norme, ce qui doit faire) et non factuelle(on constate). La morale indique ce qui doit être en matière de conduite humaine tend à multiplier les faits pour arriver à l’idéal, alors que la science dit ce qui est.
C. L’obligation et la contrainte
Le devoir morale se présente à nous sous la forme d’une obligation(interne= je m’oblige) et non d’une contrainte(externe= je suis contraint). L’obligation se distingue de la contrainte en ce qu’elle est interne et non externe, en ce qu’elle est une nécessité que l’individu s’impose à lui même et non une nécessité qui vient des autres de la société. Et la distinction obligation contrainte rejoint la distinction loi morale et loi positive. Elle prend la forme de jugement de valeur = jugement normatif et result de la question que dois-je faire? mais d’ou vient la morale ? Repose t-elle sur des jugements objectifs ou subjectifs? Quelles sont ses fondements?
II. Fondement
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