Devoir d’assistance : aspect moral / obligations des mariages cas
TD : Devoir d’assistance : aspect moral / obligations des mariages cas. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Jeanne Goujat • 26 Février 2016 • TD • 335 Mots (2 Pages) • 1 088 Vues
Devoir d’assistance : aspect moral / obligations des mariages
Art 215 du code civil : obligation de communauté de vie : vie de couple (relations intimes > refus prolongée de relations intimes) et l’excès dans les relations intimes/ puis le choix du logement de famille (il y à 50 ans, le choix était au mari) > il se fait aujourd’hui ensemble. > Locataire (la cotitularité du bail > en cas de conflit/ en cas de décès > le bail est transféré au conjoint survivant (1 juillet 2002)) ou propriétaire
Doit annuel au logement
Art 220 du code civile > solidarité ménagère (solidarité : un prêt de 1000 e > la dette est conjointe donc divisé) > les époux sont tenue solidairement / dettes ménagères
2 exemples : cas d’une femme et d’un manteau à 75 000 euros / une croisière de luxe > 200 000 francs / 63 empreints ou 300 000 e de dettes
Question de la filiation
Filiation légitimes (2002 : on supprime le mot légitime)
Pour qu’un enfant soit légitime : naître pendant le mariage ou conçu pendant le mariage mais né après, ou la mère est était marié ne serait ce que 24h pendant sa grossesse (cours de cassation 1936, arrêt Heroval) ex : cas décès
Il faut alors faire affilier son enfant > filière indivisible (soit deux parents légitimes ou aucuns) / il faut d’abord établir la maternité > prouver le lien entre la mère et l’enfant
Art 331 -25 >> comment prouver la maternité : l’indication du nom de la mère sur l’acte de naissance, si ce n’est pas le cas >> la possession d’Etat (311-2 et -3 >> le traitement tractatus > montrer une relation bilatérale) jugement valant d’acte de naissance / ou la FAMA : un maximum de photos, témoignages / le NOMEN / action en justice si mi-acte de naissance > prouver l’accouchement et prouver l’identité de l’enfant (expertise biologique) > ordonner sauf motif médicale MAIS (si le juge l’ordonne on n’à aucuns choix)
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