Explication de Texte Leibniz

Dans la préface de Nouveaux Essais sur l’entendement humain, Leibniz atteste que les connaissance sens, soit nos cinq sens, ne permettent en aucun cas d’énoncer une vérité Universelle. On peut définir une vérité Universelle comme étant une vérité non portée par des faits comme le serait une vérité particulière mais par une science ce qui convient le plus au philosophe qui recherche la science plutôt que les fait nous pouvons citer Aristote : « La poésie tragique est plus philosophique que l’histoire »

Dans ce texte Leibniz explique sa thèse en l’introduisant par la réfutation de la notions de connaissances sensibles, en effet comme il le dit: « les sens ne donnent jamais que des exemples », avec cette phrase l’auteur veut souligner le fait que la connaissances sensibles n’est et ne sera toujours qu’une connaissance basé simplement sur nos expériences, qu’elles soient olfactives, visuelles ou autres, il identifie ces sens comme étant attribué de manières individuelles, c’est à dire que chaque Hommes peut interpréter une même chose différemment selon sont ressentit, il joint alors à son expérience quelque chose qui est sien. Ce que l’auteur ne nous dit pas c’est que les connaissances sensibles sont spontanées, on peut les associées à des connaissances empiriques où à des vérités particulières.

Leibniz décide d’argumenter sa thèse en ne s’aidant simplement que de démonstration où le ressentit humain n’est pas requis,( c’est à dire en utilisant les mathématiques, réputer pour être une science de vérité universelle) il choisit donc l’exemple de Grecs et Romains qui se laissaient croire que le décours de 24 heures rythmée par le levé et le couché du soleil se faisait en même temps partout ailleurs.

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