Etude de document Mont Blanc

Cassandra Tairraz

1ère S/L

Devoir maison de géographie : Le massif du Mont-Blanc : un patrimoine à ménager.

Consigne : En vous aidant des documents et de la méthodologie d’analyse de documents et des questions de l’étude de cas, montrer et expliquer comment préserver le massif du Mont Blanc tout en conservant son attractivité liée à de nombreux atouts.

Le massif du Mont-Blanc (4810 mètres), est un lieu emblématique de la haute-montagne (domaine de la montagne où les conditions font qu'il est difficile de progresser, et même de survivre sans un équipement et une préparation particulière. Généralement la haute montagne est liée à la haute altitude) du point de vue touristique, culturel, économique et environnemental. « Le Mont-Blanc est le troisième site naturel le plus visité au monde. » (Document 12, ligne 1 à 2).

 Nous nous interrogerons sur la manière dont l’Homme doit préserver ce milieu montagnard tout en gardant son attractivité. Dans un premier temps nous verrons que le massif du Mont-Blanc est un milieu soumis à une forte activité humaine. Puis dans un second temps, nous nous intéresserons au risques que l’on trouve, pour l’Homme été le milieu, sur ce domaine. Et enfin, nous verrons comment allier l’environnement et les activités humaines dans ce lieu international.

Pour ce faire, nous analyserons plusieurs type de documents, comme des photos (dont une, satellite) de la zone étudiée, des cartes, des schémas, des graphiques, des extraits d’articles de presse et de rapport annuel ainsi que des publicités.

Premièrement, l’espace Mont-Blanc est soumis à une intense pression anthropique (avec une action humaine).

        En effet, c’est un espace qui a été rendu accessible par l’homme (document 1). Des routes, des autoroutes, des viaducs facilitent l’accès à la vallée, ainsi qu’au tunnel du Mont Blanc, construit en 1965, qui traverse tout le massif et qui relie la France à l’Italie. De plus, des téléphériques rendent plus accessibles certains lieux de la vallée comme le téléphérique de l’Aiguille du Midi qui prend pour départ la Vallée Blanche.

La pression anthropique se traduit aussi par une forte activité touristique notamment sportive. « 25000 personnes tentent son ascension chaque été, soit 250 par jour. » (Document 2, ligne 1 à 2), « 1786 : 1ère ascension du Mont-Blanc par Balmat et Paccard... 1924 : 1er Jeux Olympiques d’hiver. » (Document 4, ligne 2 et 5). En effet, le Mont Blanc, grâce à ses pentes enneigées et son magnifique cadre, offrent la possibilité aux touristes et aux sportifs internationaux de profiter de cette opportunité.

Enfin, l’activité humine permet de développer l’économie de la région. « L’eau minérale naturelle Mont blanc commercialisée depuis 2013 » (document 6) joue un rôle important dans l’économie du lieu, tout comme « une clientèle internationale dotée d’un fort pouvoir d’achat » (document 5, ligne 10), qui utilisent des lieux d’hébergements, de restaurations, de commerces divers et variés (souvenirs, vêtements…). En effet, le développement d’une station montagnarde est dû en grande partie à l’activité humaine touristique.        

Donc, cette intense pression anthropique, se traduit, par une accessibilité facilité par l’Homme ce qui entraîne une forte activité touristique et donc une activité économique qui prospère sur l’espace Mont-Blanc. Cependant, il existe des risques pour les hommes qui profitent du domaine du Mont-Blanc, mais aussi des risques, pour ce milieu, d’un point de vue environnemental.

        En effet, l’utilisation massive du domaine par les touristes a des conséquences négatives sur l’environnement. « Trois tonnes de déchets, câbles, canettes… ont été ramassées le 23 septembre 2012 par une centaine de bénévoles sur la Mer de Glace. » (Document 7, ligne 1). De plus, à cause, de la situation géographique de la vallée de Chamonix,  ainsi que des voies de transports qui traversent le domaine, l’air dans la région de Chamonix n’est pas de très bonne qualité. (Document 8). L’activité humaine a donc un impact sur l’environnement.

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