Traité sur la tolérance , Voltaire

   Dans son œuvre Traite sur la tolérance , Voltaire écrivit “Des lecteurs attentifs qui ne communiquent leurs pensées vont toujours plus loin que l'auteur.”Ainsi Voltaire veut nous faire comprendre que si le lecteur lit et le comprend bien le texte, il pourra trouver plus que  le point de vue de l’auteur. Cela permet à un bon lecteur de se faire sa propre opinion sur la société de l'époque. Mais le but de Voltaire et de ses contes philosophique n’est pas de divertir ? Ou bien de faire réfléchir le lecteur ? Ainsi, on va voir si la fonction principal est plutôt de divertir ou de faire réfléchir. Pour cela, on va voir, dans un premier temps, la dimension divertissante dans un second temps la dimension argumentative .

   Dans un premier temps, on va donc tenter de montrer la dimension divertissante des contes philosophique de Voltaire. Tout d’abord, on retrouve une partie divertissante destinée à faire passer un bon moment au lecteur. Pour cela on retrouve une partie narrative très présente dans les contes philosophique de Voltaire, cela permet de rendre le conte plus plaisant afin de divertir le lecteur. Nous pouvons remarquer que l’on suit les aventures d’un héros qui vit une aventure amusante. C’est le cas dans l'Ingénu de Voltaire publié en 1667, où le lecteur est transporté dans l’histoire plaisante d’un Indien qui débarque en France. L’auteur nous fait vivre toutes ses péripéties dans la France de Louis XIV, comme son emprisonnement à la Bastille où il rencontrera un janséniste qui lui inculquera la littérature, la philosophiques, la  religion, et les mathématiques et jusqu'à Versailles pour rencontrer le Roi Soleil ou encore pendant sa halte dans une auberge  à Saumur où il rencontrera des protestants qui lui explique pourquoi Saumur ne compte plus que six mille âmes et pourquoi tout le monde part dans les campagnes. Ces passages permettent de plonger le lecteur au XVIIIe siècle et donc de cree une ambiance divertissante, ambiance divertissante et amusante renforcé par la naïveté de l'ingénu. Mais on peut également retrouver cette aspect dans l’Aventure indienne de Voltaire, traduit par l’ignorant, publié en 1766, où l’auteur nous fait découvrir une histoire divertissante et étrange, dans laquelle on suit l’aventure du célèbre mathématicien Pythagore dans son voyage aux Indes, Voltaire nous fait vivre des péripéties rocambolesques et étranges à travers le personnage de Pythagore qui traverse les prairies  ou il s’y passent des moments amusant et villages des Indes où il y voit des villageois en train d'être jugés, le personnage de Pythagore au texte un effet de réalité, mais à la fois d'absurdité étant donné que Pythagore est très intelligent est donc rend ces situations étrange. Mais l’aspect divertissant doit aussi susciter le sourire.

L’autres aspect divertissant du conte philosophique, est l’aspect comique, que Voltaire maîtrise bien puisqu’il arrive à faire rire le lecteur, avec le personnage principal ou alors des rencontres grotesques entre le personnage principal et les autres personnages, il arrive même à rendre un personnage sérieux et intelligent en un être parfaitement grotesque, on peut notamment retrouver ces situation dans L’aventure Indienne de Voltaire traduit par l’Ignorant, avec le personnage de Pythagore, ou l’on voie le mathématicien Pythagore parler un brin d'herbe, pleurer devant une huître qui parle car Pythagore aller manger l'huître mais l’huître parla de sa vie dure comparée à celle de l'herbe, sauve deux indiens du bûcher, mais Pythagore est brûlé vif par un intolérant alors qu’il prie dans sa maison. On retrouve aussi cette aspect dans l'Ingénu de Voltaire, ou l’on retrouve l'ingénu dans son périple en France, l'ingénu est une personne très naïve et donc suscite le rire avec les absurdités qu’on lui raconte. L’aspect comique est donc différent selon le personnage principal.

     Mais il y a un autres aspect, qui rend les contes philosophique si divertissant, l’aspect obscène du conte philosophique rend le texte plus divertissant et donc suscite le rire ou le sourire, on le retrouve dans l'Ingénu de Voltaire, ou l’on voit que l'Ingénu veut se faire circoncire comme il est dit dans la Bible, mais la bonne de Kerkabon, le convainc de ne pas le faire car “les dames s'intéressent toujours par bonté d'âme.”Cette phrase obscène de la bonne de Kerkabon nous montre parfaitement une allusion à la sexualité, on retrouve également ce côté obscène dans Les deux consolés, publié en 1756, de Voltaire, le côté obscène y est très fort notamment lorsque le père voit dans sa chambre l’amant qui avait “le visage tout en feu et l’œil étincelant” et la fille aussi était aussi en feu, on peut voir le côté très obscène de cet extrait, mais qui prête a sourir et donc fais passer un bon moment au lecteur et donc permet de renforcer ce côté divertissant présent dans les contes philosophique

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