Rin1013, problèmes de santé au travail
Dissertation : Rin1013, problèmes de santé au travail. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Emilie Labelle • 21 Novembre 2017 • Dissertation • 1 790 Mots (8 Pages) • 2 450 Vues
RIN1013 [pic 1][pic 2]
PROBLÈMES DE SANTÉ AU TRAVAIL
TRAVAIL NOTÉ 2 [pic 3][pic 4]
Feuille d’identité ( points)
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Nom LABELLE Prénom EMILIE
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Numéro d´étudiant 11390555 Trimestre [pic 9]
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Adresse 1-21 TASSÉ, GATINEAU
Code postal J8Z 1S5[pic 11]
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Téléphone Domicile 819-592-7282 Travail
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Cellulaire
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Courriel MIMOSA.LABELLE@GMAIL.COM
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Nom de la personne tutrice
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Date d’envoi
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Réservé à l’usage de la personne tutrice
Date de réception date de retour [pic 20]
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Note
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1.
a) Si un employeur augmente à la fois la charge quantitative et qualitative de travail et la charge physique et psychologique, le travailleur ressent une fatigue accrue qui augmente le risque de stress relié au travail et de maladie.
b) En augmentant en plus la responsabilité des travailleurs envers quant aux résultats, l’engagement du travailleur dans des relations personnelles investit dans l’exécution du travail, chaque heures travaillée ajoute une fatigue plus grande à la précédente. L’employé pourrait penser ne pas détenir les compétences ou les connaissances requises pour effectuer la tâche ou le travail qu’on lui demande.
c) La réduction de l’autonomie du travailleur et de sa latitude décisionnelle au travail augmente aussi la tension au travail.
2.
a) Les lésions attribuables aux horaires par quart sont difficiles à prouver puisque les problèmes de santé qui en découlent sont généraux. Elles prendront parfois la forme générale des lésions causées par le stress, mais le lien avec le travail ou les horaires est difficile à prouver.
b) On les indemnisera plus souvent à même les régimes collectifs d’assurances-salaire lié à l’employeur et non par la CSST.
3. Dans le cadre d’une organisation du travail de type gestion de projet, le rythme et l’intensité du travail sont grandement imposés et influencés par le client et ses exigences. Alors que le contrat avec le client donne plus de latitude aux employés, ceux-ci se retrouvent coincés avec des délais plus serrés.
4. On dit qu’il y a surcharge quantitative lorsqu’un employé doit accomplir trop de tâches à la fois ou encore effectuer des tâches dans une période de temps insuffisante.
On dit qu’il y a surcharge qualitative lorsque l’on exige trop intellectuellement d’un travailleur par rapport à sa formation, à l’information qu’il détient pour exécuter un travail, lorsqu’on le soumet à des contraintes de temps innapropriées par rapport à ses capacités et au niveau de difficulté de la tâche.
5.
a)Les exigences du travaille déterminent en effet en grande partie l’âge à partir de laquelle nous ne sommes plus aptes à poursuivre le même travaille. Des études de cas à petite échelle démontrent que les facteurs relevés sont plus souvent des contraintes physiques : efforts physiques intenses, contraintes de posture, contraintes de temps, horaires par quart, charge de travail élevée, ambiance physique critique par l’effet du bruit, du froid, de la chaleur, des changements brusques, de l’éclairage déficient, des substances toxiques dans l’environnement, etc. La combinaison de plusieurs de ces facteurs a des effets démultipliés sur la santé des travailleurs. (Damasse et Doyon, 2000)
Dans une étude de cas réalisée dans la région de Québec,(David et Bigaouette, 1986) deux chercheurs constatent que ces contraintes sont plus souvent associées aux emplois de bas échelle ou de cols bleus. Les départ à la retraite pour des raisons d’âge et d’invalidité sont deux fois plus nombreux chez les cols bleus que chez les cols blancs. Une autre étude de Wegman (2000) constante la même chose chez nos voisins du sud.
Une équipe de recherche finnoise a par ailleurs étudié des travailleurs municipaux de 44 à 55 ans avec des fonctions variées. Au début de l’étude 65% des travailleurs souffraient d’une maladie chronique diagnostiquée (troubles musculosquelettiques, cardio-vasculaire, respiratoires ou psychologiques); onze ans plus tard, 80% des travailleurs étaient dans cet état, sans avoir quitter ou non son emploi. C’est donc dire que plus ils avancent en âge, plus les travailleurs risquent de souffrir d’une maladie chronique qui peut ou non affecter leur capacité de travail, sans nécessairement la compromettre.
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