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Incendie, Wouajdi Mouawad

Cours : Incendie, Wouajdi Mouawad. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  3 Décembre 2022  •  Cours  •  894 Mots (4 Pages)  •  362 Vues

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Séance 3:

Incendie a été créé en 2003. La pièce commence par la lecture du

testament de Nawal qui engage ses jumeaux, Simon et Jeanne, qui les

pousse à faire leur propre histoire: Ils doivent retrouver un père et un

frère. A travers leur recherche, ils découvrent le parcours de leur mère.

La scène 25… Puisque dans une prosopopé Sawda lui raconte les

massacre qui ont eu lieu dans les camps de réfugiés. Il faut montrer que

dans cette scène on assiste à un déchaînement de violence. 1er

argument Sawda nous explique la violence des milicien en relevant le

CL de la violence. Accumulation des moyens de destruction car les

miliciens ne sont pas nommés et relever l’anaphore sur “tuer” Ils ont tué.

Le camp est représenté comme entièrement en train de brûler,

rechercher la métaphore / hyperbole "Dès vague de sang qui coulait des

ruelles" la référence au couleur chaude. Il faut pour le spectateur faire

ressentir un mécanisme très bien huiler, une logique de mort et que tout

soit détruit et que tout soit mort.

Le témoignage de Sawda est une hypotypose. Citer les verbes de

perception et la première personne qui montre qu’elle est témoin et

qu’elle est au coeur de la scène. Elle cherche a faire revivre cette scène

d’horreur à Nawal et au spectateur ce qu’elle a vue, cité le verbe

“raconter”, et un procédé : L’apostrophe “Nawal” renforcer par les phrase

exclamative. {dernier argument }: Le récit de Sawda se mobilise sur un

changement de rythme. L’alternance passé composé / imparfait et

l’hypotypose mobilise deux sens : La vue et l’audition avec une citation

du champ lexical de l’audition. Sawda propose un tableau visuel et

sonore d’un réalisme cru qui permet aux spectateurs d’imaginer la

scène.

{idée directrice}: Dans le récit de Sawda on a un passage important qui

focus sur ce qui est arrivé à la mère et aux enfant ce qui crée du

tragique (cité catharsis). Le daelim imposé à la mère de choisir le quel

de ses fils va t elle devoir "tuer" ou "sauver" renforcé par le verbe

“choisir”, et le chiffre 3 qui est revenue 7 fois.

{dernier argument}: La mère ne peut pas choisir car elle est incapable de

prendr la parole est le faite qu’elle ne regarde aucun de ses enfant en

particulier.

{3 argument}: mater dolorosa, la mère souffre d’avoir perdu ses deux

enfant, qui se traduit par la metonimia “tout son corps hurler”.

{déduction}: Ce qui est intéressant c’est que la mère se juge

responsable de ce qui est arrivé à ses enfants. Elle devient l'assassin de

ses enfants. Elle se considère comme le bourreau alors qu’elle est la

victime du carnage.

{transition}: Nous avons vu que cette scène cherchait à faire percevoir

au spectateur la barbarie a travers l'hypotypose et le dilemme imposé à

la mère qui est associée

...

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