Développement Durable et agrosystèmes
Dissertation : Développement Durable et agrosystèmes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ousmanfall • 29 Avril 2021 • Dissertation • 347 Mots (2 Pages) • 361 Vues
Fall
Ousman
Activité 3 : Développement Durable et agrosystèmes
1) 40% des insecticides utilisés actuellement dans le monde sont des néonicotinoïdes (molécules souvent pulvérisées sur les cultures). Ils imprègnent tous les organes de la plante, surtout les fleurs. Ces substances sont neurotoxiques : elles empêchent le contrôle nerveux des muscles, d’où une mort par asphyxie des insectes.Ces molécules sont suspectées d’être une des causes de la disparition des insectes pollinisateurs (abeilles/bourdons…) des cultures et des plantes sauvages
2)La bioaccumulation est l’absorption de substances chimiques présentes dans l’environnement,et leur concentration dans certains tissus par les organismes
3) On peut limiter l’utilisation de pesticides a travers le principe de la lutte biologiques La lutte biologique est une technique qui consiste à combattre des ravageurs de culture en utilisant des prédateurs naturels de l’espèce problématique.C’est une technique réaliser par l’homme pour augmenter la production s ans utiliser de pesticides . L’agent de lutte utilisé est un organisme parasite, prédateur ou pathogène du ravageur, qui le tue plus ou moins vite en s’en nourrissant ou en limitant son développement mais ce n’est pas tout,il existe d’autre piège,par exemple le piège a phéromones qui consiste a libérer des phéromones de l’espèce pour attirer les mâles, ce qui empêche une reproduction efficace de l’espèce.
4) On peut aussi limiter l’utilisation de d’herbicides,je peux vous donner deux techniques.Tout d’abord Des expérimentations en plein champs ont montré que la réduction d’usage des herbicides est complexe et résulte rarement d’une simple substitution mais d’une combinaison de stratégies. Dans un graphique qui montre le niveau d’utilisation d’herbicides en fonction du recours au désherbage mécanique, ainsi que le nombre de « mauvaises herbes » (= adventices) en fonction du nombre de cultures différentes se succédant sur une même parcelle (ex : blé tendre, puis orge, puis luzerne). Parmi les espèces cultivées, les besoins sont un peu différents d’une plante à l’autre (ce qui permet de ne pas consommer uniquement la même ressource dans le champ) et les racines sont différentes, fragilisant les sols ce qui rend difficile l’implantation durable d’adventices
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