Correction partielle du plan de commentaire sur « La bicyclette » de Jacques Reda

Correction partielle du plan détaillé de commentaire sur « La bicyclette » de Jacques Reda

1. Un cadre propice à l’enchantement

1. Un cadre réaliste, calme et tranquille

• Cadre urbain, champ lexical : « dans la rue, corridor, vitres, pavage, carreau » + présence du jardin avec champ lexical de la nature : « branches, feuilles, jardin, vert ».
• Indications temporelles précises vers 1 et 20 : « un dimanche à 6 heures, soir ». Une soirée, un dimanche, jour de repos, donc calme.
• Absence de personnes : phrase brève du vers 10 « La rue est vide » +absence de bruit « silence » vers 10.

1. Un cadre magnifié par l’abondance de la lumière

• Champ lexical de la lumière qui parcourt le texte (A relever)
• Métaphore filée hyperbolique qui assimile la lumière à de l’eau qui se répand : « torrent de soleil, roule, éclats, gouttes, flots, noyé » +verbe d’actions « roule, déverser »
• Personnification de la lumière : « éclats palpitants, ce feu qui danse /pieds nus à petits pas légers » +allitération en « p » (vue et ouïe convoqués dans cette image, renforçant la vie de la lumière)
• Couleur chaude de la lumière : « or, doré » +métaphore du feu (vers 11 et 20), coucher du soleil

1. Un élargissement du cadre spatial

• De la ville (« rue, corridor ») vers la campagne (d’abord le « jardin », puis la nature plus sauvage avec l’accumulation du vers 14) puis le cosmos avec les astres du vers 21.
• D’un lieu clos (« fermé, vitres » vers 2) à un lieu ouvert et vaste (pluriels dans l’accumulation du vers 14) + disparition des « murs » : « écroulés » v.14, + vers 19 « vitrage à demi-noyé qui chancelle » (liberté)
• De la réalité (début du texte) à l’imaginaire (comparaison vers 13 « ainsi que » + verbe « pense » vers 14 + métaphore des astres vers 21)

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