Commentaire de texte "complainte du vieux poteau" Jacques Reda
Commentaire de texte : Commentaire de texte "complainte du vieux poteau" Jacques Reda. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mia_1 • 4 Avril 2022 • Commentaire de texte • 1 241 Mots (5 Pages) • 340 Vues
Commentaire de texte
Avec plusieurs recueil écrit Jacques Réda a aussi écrit des œuvres entière entre 1999 et 2003 . Comme « Complainte du vieux poteau » Jacques Réda, poète éditeur et chroniqueur de Jazz évoque le fait qui prend de l'age, qu'il vieillit , évoque les effets de la vieillesse et que ça fait très longtemps qu'il vie . Il met tout en rapport avec la Musique et particulièrement le Jazz ainsi que la nature. Dans ce long poème en 6 strophes de 4 vers, on voit qu'il met en œuvre ça création de l’alexandrin et du récit en prose. Réda associe son état physique à la nature et des objets. La voix poétique donne libre cours à lui même et raconte son état physique en faisant plusieurs figures de style comme : des métaphores, des comparaisons, des métonymies ou bien des périphrases... On pourra se demander en quoi cette poésie a un lien avec l'auteur. Nous répondrons à cette question en abordant la nature puis le lien avec la musique et le fait qu'il vieillit.
La voix poétique qui se manifeste ici par une périphrase lors du premier vers « Aussi gris maintenant qu'un vieux poteau télégraphique » crée une atmosphère de tristesse et raconte son état physique, ce qui révèle les sentiment mélancolique du poète. Dés le premier vers, le poète se compare a un « vieux poteau téléphérique »,le décor nous plonge directement dans le thème de la vieillesse avec se premiers vers plutôt violent et familier. La précision apporté des thermes utilisé comme « aussi gris » (vers 1), « vieux » (vers 1), « vais devenir sourd » (vers 2) et « je n'entends déjà plus » nous montre directement que le poète est une personne âgée, ceux qui crée dès la première strophe un effet réelle d'une atmosphère de tristesse. Par ailleurs dans ce poème, de strophe a strophe on remarque progressivement un champs lexical de la musique : « chant béatifique » (vers 3), « musique du vent » (vers 5), « longs accords sévère » (vers 5), « diapason » (vers 6), « musique des sphères » (vers 7), « jazz » (vers 10) et « chanson » (vers 15). Il inscrit le poème dans une tradition harmonieuse qui représente et met en avant la beauté de la nature et de la musique ensemble. Le personnage que le poète ce donne, donc un vieux poteau télégraphique en bois et du fait qu'il devient sourd, ça souligne un peu plus encore que son état physique et du fait qu'il est en fin de vie. On retrouve ainsi un décor réelle a la vie de tout les jours. D'abord avec l'adjectif « vieux » dans le premier vers, puis sur le fait qu'il n'entend plus et qu'il nous le précise avec l'adjectif « sourd » (vers 2) et du coup qu'il va le devenir. Avec la pronom personnel sujet « je », le verbe « vibrer » conjugué a l'imparfait, ainsi que la comparaisons faite avec la conjonctions de subordinations « comme » à « un pur diapason » (vers 6), nous fait référence au lien très fort qu'il avait avec la musique et que littéralement il entendait de la musique de partout. Après le fait qui l'entend de la musique a chaque recoins de l'univers, ceux-ci est accentué par le fait que son jazz soit improvisé avec le verbe intransitif « détone » ainsi que le verbe transitif « éclate » qui son plutôt cache et brutal à travers le nom féminin « supernova » et « un trou noir » dans ces vers de la troisièmes strophe le poète fait beaucoup d'hyperbole.
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