Représentativité et publication des soins infirmiers

Représentativités

Dans un objectif de professionnalisation, le corps infirmier français s’est doté de groupes représentatifs. D’abord constitué autour de valeurs religieuses et morales, a savoir les premières valeurs du métier d’infirmière, il fut par la suite question de s’interroger quant a la nature technique et théorique de la formation. Est alors créée l’ANIDEF (Association Nationale des Infirmières Diplômées de l'État Français) le 22 juin 1924 qui visait à regrouper des directrices d’écoles, habités par l’idée de de définir l’infirmière et non pas la nature du service infirmier. Même si l’objectif initial est d’assurer les meilleurs soins possibles, la notion de soin n’est pas réellement explicitée. Ainsi, il n’est pas question, à l’échelle des représentant de la formation, et donc des futurs soignants de définir le rôle de l’infirmière mais l’infirmière en elle-même, négligent ainsi tout le travail de moral car, chaque soignant sera formé avec les connaissances communes qui lui seront données.

publication

La publication des méthodes de soins infirmiers est une toute nouvelle manière d’enseigner car avant, le savoir se transmettaient oralement et par la démonstration de pratique sur le terrain. C’est avec la création des écoles de formation aux soins infirmiers qu’apparaissent des manuels et des guides techniques qui consignent les connaissances nécessaires à l’acomplissement du role technique. De plus, dès 1906, des bulletins et revues professionnels voient le jour, contribuant ainsi a forger une image cohérente et unifiée du role morale ainsi qu’a developper le role technique. Cette vision unifié de la morale infirmière et ce role faconné definissent donc ce qui est acceptable ou non, mettant en avant une definition impermeable du role plutôt que de favoriser un jugement et des choix personnels et propre au soignant. L’infirmiere s’identifie a son role sous tout les aspects et y perd donc sa propre identité

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