La culture organisationnelle et l'innovation

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Chapitre 16 - La culture organisationnelle et l'innovation

Exercices supplémentaires - corrigé

Vrai ou faux

1. La culture organisationnelle se définit comme l’ensemble des attitudes, des valeurs et des croyances communes qu’acquièrent les membres d’une organisation et qui guident leurs comportements.

Réponse : Vrai.

1. La recherche démontre que la plupart des cultures organisationnelles sont similaires, voire identiques.

Réponse : Faux.

1. Par leur expérience collective, les membres d’une organisation parviennent à résoudre deux problèmes essentiels liés à la pérennité : (1) l’adaptation interne et (2) l’intégration de la concurrence.

Réponse : Faux.

1. Les trois aspects importants de l’adaptation externe sont : (1) la distinction entre les forces externes les plus importantes et les moins importantes; (2) la recherche de moyens pour évaluer les réalisations; (3) la recherche d’explications sur la raison pour laquelle les objectifs ne sont pas toujours atteints.

Réponse : Vrai.

1. L’intégration interne consiste en la création, par les membres d’une organisation, d’une identité collective et par l’adoption de moyens pour harmoniser les façons de travailler ensemble et de se côtoyer.

Réponse : Vrai.

1. Dans le cadre du processus d’intégration interne, les trois aspects importants du travail en groupe sont les suivants : (1) une prise de décision concernant les personnes qui font partie ou non du groupe; (2) une détermination en bonne et due forme des comportements acceptables et inacceptables; (3) une obligation, pour les alliés et les adversaires, à travailler ensemble.

Réponse : Faux.

1. Généralement, les entreprises de petite taille possèdent une seule culture organisationnelle, cimentée par un ensemble d’attitudes, de valeurs et de croyances communes.

Réponse : Vrai.

1. On trouve rarement des sous-cultures fortes dans les équipes hautement performantes ou les groupes chargés de projets spéciaux.

Réponse : Faux.

1. Toute organisation de grande taille qui recrute sa main-d’œuvre dans l’environnement où elle est implantée est susceptible d’importer, du même coup, des sous-groupes parfois importants, ayant leur propre sous-culture.

Réponse : Vrai.

1. Au Japon, la date d’obtention du diplôme, le sexe et l’origine régionale sont souvent des éléments clés de la création de sous-cultures en milieu organisationnel.

Réponse : Vrai.

1. La contre-culture correspond à une philosophie et à des valeurs qui sont propres à un groupe, mais qui ne s’opposent pas aux valeurs et à la philosophie dominante de l’organisation.

Réponse : Faux.

1. L’une des difficultés que peut poser l’importation de sous-groupes issus de la société environnante est que l’organisation risque d’avoir beaucoup de mal à s’adapter à des changements culturels profonds.

Réponse : Vrai.

1. L’organisation multiculturelle est une organisation qui valorise la diversité culturelle, mais qui fait en sorte d’empêcher les sous-cultures issues de l’environnement de pénétrer le tissu social qui lui est propre.

Réponse : Vrai.

1. Dans le programme de création d’une organisation multiculturelle proposé par Taylor Cox, la première étape consiste à soutenir le pluralisme tout en visant une socialisation basée sur la diversité.

Réponse : Vrai.

1. L’analyse de la culture d’une organisation permet d’en dégager trois dimensions importantes : la culture apparente, la culture implicite et les différences entre les hypothèses culturelles.

Réponse : Faux.

1. La culture apparente englobe les récits, les cérémonies et les rituels qui constituent l’histoire de l’organisation ou de l’un de ses groupes.

Réponse : Vrai.

1. De nombreux consultants recommandent aux organisations d’instaurer un ensemble cohérent et dominant de valeurs communes.

Réponse : Vrai.

1. L’analyse culturelle la plus approfondie permet de dégager les valeurs communes, qui jouent un rôle crucial puisqu’elles relient les individus et peuvent agir comme un puissant mécanisme de mobilisation des membres d’une même culture.

Réponse : Faux.

1. Les rituels correspondent à des récits légendaires qui racontent la fondation d’une organisation.

Réponse : Faux.

1. Les rites sont des activités planifiées, standardisées et récurrentes auxquelles on recourt à des moments précis pour influer sur les comportements et la perception des membres de l’organisation; les rituels sont des ensembles des rites.

Réponse : Vrai.

1. Souvent, le langage particulier d’une sous-culture, ses rituels et ses rites forment une sorte de jargon.

Réponse : Vrai.

1. Un symbole culturel est un objet, une action ou un événement qui transmet un message d’ordre culturel.

Réponse : Vrai.

1. La culture organisationnelle précise souvent quand certains comportements sont appropriés et comment se situent les individus dans le système social de l’organisation.

Réponse : Vrai.

1. Selon de nombreux chercheurs et gestionnaires, les valeurs communes sont au cœur de la culture organisationnelle.

Réponse : Vrai.

1. Les valeurs communes relient l’organisation à des valeurs importantes de la société où elle est implantée.

Réponse : Vrai.

1. Les organisations dotées d’une culture forte se caractérisent par un système de valeurs largement partagées et profondément enracinées qui renforcent l’identité organisationnelle, améliorent l’engagement collectif, créent un système social interne stable et réduisent à la nécessité des contrôles formels et bureaucratiques.

Réponse : Vrai.

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