Synthèse à toute vitesse

Frédéric Beigbeder, extrait de roman : il parle du fait qu’il manipule les gens pour que la consommation du grand public soit une addiction

deuxième document est un graphique qui montre les dépenses des ménages en biens, il montre que les gens privilégie l’achat de biens manufacturé que pour les dépenses des vivre ,

Thibaut Henneton, extrait d’un article du journal Le monde diplomatique, le monde diplomatique : il parle du fait que certaines entreprises, comme Apple ralentissent certains de leurs modèle afin de pousser le consommateur en acheter d’autre et donc d’acheter un nouveau.

Le dernier document est une affiche publicitaire, qui met en avant le fait que les produits vendus sont en soldes, afin d’attirer la clientèle, avec sa couleur dominante le rouge

Ce corpus est composé de 4 documents : deux documents littéraire, un graphique de l’INSEE et une affiche publicitaire de Conforama, tous les trois sont des documents qui ont pour idée cardinale l’accélération de la consommation.

Frédéric Beigbeder, dans son extrait de roman 99 francs, parle du fait qu’il manipule les gens pour que la consommation du grand public soit une forme d’addiction, on peut le comparer avec le document publicitaire où l’on voit que le but numéro 1 est d’attirer le clients afin de le pousser à acheter en utilisant des mots comme dernière chance les 3 point d’exclamation accentuant le fais que c’est une chose qui n’arrive pas tout le temps.

Selon le graphique on voit que les gens préfère  dépensé de l’argent dans des biens que dans l’énergie ou encore l’alimentation, cela est du aux fait que les gens soit manipuler, pour acheter un produit mais une fois qu’il l’ont il le délaisse peu de temps après comme le souligne Frédéric Beigbeder.

Thibault Henneton, au contraire , dans son article intitulé « planifier l’obsolescence »,paru dans le journal du Monde diplomatique, il dénonce le fait que des entreprises ralentissent certains de leur modèle de téléphone afin que les clients aillent en racheter un autre, c’est ce qu’on appelle l’obsolescence programmée.

Ce corpus nous montre donc que la société fait tous ce qu’elle peut pour pousser le client à consommer, comme si pour lui cela était une drogue.

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