Analyse sectorielle

Les réglementations concernant la salade sont plusieurs. Tout d'abord, les produits doivent répondre aux normes européennes, aussi la langue étrangère est permise à condition qu'une traduction en anglais soit fournie. Les salades, majoritairement conditionnés et distribués dans un carton, sont soumises à une inspection phytosanitaires.

De plus les exigences de sécurité se sont accrues au niveau de la protection des denrées alimentaires. Les exigences aux fournisseurs des grandes chaînes de ventes sont de plus en plus stricte et affectent aussi la potentielle entrée de nouveaux produits.

Une réglementation de l'étiquetage est exigé sur l'étiquette de traçabilité qui doit contenir la nature du produit, le poids, la marque, le pays d'origine, la catégorie, la calibre, le numéro de traçabilité, le code barre résumant toutes ces informations et la précision de possibles composants chimiques.

L'avantage est qu'il n'y existe pas de contraintes douanières pour des échanges entre la France et les Royaume-Uni. Pourtant, tout les produits en circulation entre les Etats membres traversant la frontière extérieure de l'Union européenne aura l'obligation d'avoir une déclaration Intrastat. De plus l'Angleterre est noté A1 au niveau du risque par la Coface ce qui est une opportunité pour les pays voulant d'associer avec.

En termes de tendances, on observe une forte lutte anti-gaspillage avec la mise en place de produits stickés (« Reduced ») à prix réduits sur les produits dont la DLC touche à sa fin (cf image). En France, le ministère de l’agriculture et de l’environnement réfléchisse déjà depuis quelque temps sur cette problématique. Il s’agit là d’un défi majeur pour notre société : parce que cela peut permettre aux français de gagner du pouvoir d’achat, parce que ce qu’il n’est pas acceptable de jeter quand certains sont dans le besoin, parce que réduire nos déchets, c’est économiser des ressources et protéger l’environnement, et parce qu’il faudra en 2050 être en mesure de nourrir 9 milliards d’humains. La lutte contre le gaspillage, sous toutes ses formes, est l’un des objectifs prioritaires de Ségolène Royal, inscrit dans le projet de loi de transition énergétique pour la croissante verte.

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