Macroéconomie : l’inflation par les structures oligopolistiques des marchés
Analyse sectorielle : Macroéconomie : l’inflation par les structures oligopolistiques des marchés. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar catarina12 • 9 Mars 2015 • Analyse sectorielle • 4 311 Mots (18 Pages) • 941 Vues
Macro économie S4
Paragraphe 3 : l’inflation par les structures oligopolistiques des marchés
Les différents marchés qui concernent les marchandises ou les facteurs de production, (structure oligopolistique concernant le capital : exemple la banque) et ces marchés sont souvent des marchés oligopolistiques dominés par qlq acteurs. Les prix sont fixés par ces acteurs. Pour accroître leur revenu et ce au détriment des autres (les grandes firmes développent leur profit par rapport aux petites firmes, et les firmes développent leur revenu par rapport aux ménages)
Ces oligopoles font les prix sur les marchés « price makers » et les autres firmes comme les consommateurs sont des « price takers ».
L’état en 1982 voulait lutter contre l’inflation : réduire la part des salaires sur la valeur ajoutée prix baissent la part des profits augmentent augmentation de l’investissement grâce à l’autofinancement demande de prêt diminue hausse des taux d’intérêts attirance des capitaux étrangers équilibre de la balance commerciale problème résolu on a lutté contre l’inflation.
Section 3 : les effets de l’inflation
Paragraphe 1 : L’inflation développe la substitution de la consommation à l’épargne
Lorsque l’inflation se développe on peut constater une fuite devant la monnaie, les agents économiques lorsqu’ils épargnent décident de ne pas utiliser le pouvoir d’achat de leurs liquidités ou de leurs placements puisqu’ils pensent que leur satisfaction sera plus grande plus tard s’ils diffèrent leur consommation. Donc s’ils font l’hypothèse d’une accélération du taux d’inflation (l’élasticité d’anticipation est forte) alors l’intérêt d’épargner diminue.( Or la psychologie des gens est assez complexe : des fois, même si on est perdant on épargne.)
La consommation peut croître et plusieurs conséquences peuvent en découler, ainsi la hausse de la consommation peut entraîner à son tour une accélération du taux d’inflation.
Si la consommation s’accroît au détriment de l’épargne elle peut aussi s’accroître au détriment de l’investissement ce qui peut provoquer ou accroître un déséquilibre entre le secteur des biens de consommation et celui des biens d’investissement.
L’économie est divisée en deux :
biens d’investissement : on produit des machines produisant des machines permettant de produire des biens de consommation
biens de consommation :
selon Von Hayek, si la consommation se développe trop, on va consommer, cela va se faire au détriment de l’achat des biens d’investissement. Cependant, la crise est obligatoire ça sera le sur développement du secteur d’investissement et le sous-développement des biens de production.
Paragraphe 2 : L’inflation et la répartition des revenus
L’inflation n’est pas neutre à l’égard de la répartition des revenus, elle transforme un équilibre de la répartition de revenus elle peut accentuer les dysmétries les inégalités entre les différents catégories sociales ainsi l’inflation affaiblit les faibles et renforce les forts. Ainsi les agents économiques à revenu fixe comme les créanciers ou les retraités sont victimes de l’inflation lorsqu’elle augmente puisque leur revenu réel, leur pouvoir d’achat diminue.
L’inflation fait du titulaire d’un revenu fixe une victime, notamment les jeunes, les retraités et les titulaires d’un revenu fixe comme les chômeurs, les détenteurs du RSA ou chômage …
En revanche les agents dont le revenu dépend de leur activité, de leur travail ou qui s’endettent pour investir peuvent être favorisés par la hausse des prix.
(Les gens qui empruntent en 1980 à 15% d’inflation se disent que l’inflation augmentera. Mais elle baisse résultat les taux d’intérêt réel (or inflation) augmentent fortement ils sont perdants)
les débiteurs et les emprunteurs sont favorisés par l’inflation si les prêteurs (banque) réagissent avec retard à la hausse des prix ou anticipent mal cette hausse (le cas des années 70 par les banques)
Paragraphe 3 : l’inflation est un impôt
L’impôt est une contribution imposée par l’état pour financer ses dépenses et les équilibrer il doit y avoir un équilibre dépense/ recette. Un autre moyen pour financer les dépenses et d’assurer l’équilibre budgétaire est l’emprunt qui à terme se traduit par une hausse des impôts pour rembourser l’emprunt et les intérêts de l’emprunt.
Il existe un autre moyen : l’inflation. Elle procure une augmentation de rentrée fiscale et réduit le montant, la valeur des dettes de l’état les impôts montent mécaniquement (psq les revenus augmentent a cause de l’inflation)
Donc l’inflation apparaît comme un impôt déguisé, alors que le rôle de l’impôt est de produire de la justice tout en assurant le rendement fiscal pour l’état, l’inflation est un impôt qui avantage les débiteurs et défavorise les créanciers. Les créanciers vis à vis de la société, sont les jeunes, les retraités, les chômeurs, les assistés, et subissent l’inflation donc une perte de leur pouvoir d’achat. L’état a vis à vis de l’inflation une position ambiguë, elle est contre en théorie mais elle peut l’avantager. L’état doit assurer la justice sociale et donc doit lutter contre l’inflation, mais l’état est aussi le principal débiteur et il doit payer ses dettes et l’inflation réduit ses dettes.
Le choix entre une inflation forte et une inflation faible est souvent difficile à faire, et donc ce sont les contraintes externes qui jouent le rôle déterminant dans le choix d’une inflation faible.
Chapitre 2 : l’emploi, le travail et le chômage
Section 1 : Définition
Paragraphe 1 : le travail
Tripalium : instrument pour tenir captif les bœufs
Tripaliare
Ergon : la base de ergonomie, la science de l’adaptation du travail : travail fatiguant
Ponos : travail enrichissant
Labor : travail fatiguant
...