Analyse de situation en EHPAD
Dissertation : Analyse de situation en EHPAD. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jukalo19 • 7 Avril 2021 • Dissertation • 1 084 Mots (5 Pages) • 761 Vues
IRFSS Centre-Val de Loire Promotion 2017-2020
IFSI Bourges Année 2017-2018
Analyse de situation
Lieu : Dans un EHPAD de la région,dans la chambre de Mme.T.
Présent de la situation vécue :
Mme.T âgée de 84 ans,souffre d'une insuffisance respiratoire suite à un OAP ( œdème aigu du poumon)
Le médecin à alors prescrit de l'oxygène à 2L, qu'elle doit avoir 24h/24. Mme.T est très entourée par sa famille qui vient lui rendre visite régulièrement.
Lors de ma semaine d'observation, Mme.T se portait très bien, aller manger à la salle à manger avec les autres résidents, toilettes au lavabo, manger seule.
A mon retour pour le stage de 1 moi l’état de Mme.T était inquiétant, elle avait du mal à respirer et commencer à faire des fausses routes, c'est alors à ce moment que le docteur Z à décider de la faire hospitaliser considérant que l'ehpad n'avait pas assez de matériels adaptés pour Mme.T
10 jours plus tard Mme.T fait son retour dans l'établissement en étant déclarée « en fin de vie » par le docteur de l'hôpital. Elle est ramener par les ambulanciers dans une chaise roulante, mais ne mange plus à la salle à manger mais dans sa chambre, elle se repose beaucoup.
Suite à cela la famille de Mme.T vient la voir tous les jours en faisant un roulement.
Mme.T est laisser sur la chaise roulante, et elle est levée le matin. Après 4 jours son état devenais critique, elle est alors prise en charge par le groupe douleurs, Mme.T n'est plus levée car sa fatigue ne le permet plus. Le docteur de l'ehpad décide alors d’arrêter tout les traitements de la patiente.
Mme.T était préparer à partir, c'est elle même qui à choisit ses vêtements, elle fait fait appel à un curer afin qu'il lui fasse une bénédiction. Mme.T reçoit beaucoup de visites des résidents de l'ehapd, celle-ci leurs dit au revoir et se prépare de plus en plus à partir. Elle fait elle même la demande de partir au plus vite car elle ne supporte plus d'attendre. Mme.T est très anxieuse mais ne souffre pas. Malgré le masque à oxygène ses lèvres sont constamment violettes, à cause des fausses routes elle ne mange plus et ne bois plus. Mme.T ne supporte plus le masque à oxygène est l’enlève des que nous sortons de la chambre, elle pousse des cris de gémissements, elle nous explique que ça la soulage.
Au fur et à mesure des jours Mme.T devient de plus en plus anxieuse et appréhende. C'est à ce moment là que l'équipe des infirmières et le docteur on fait appel à une infirmière de l'HAD (hôpital à domicile), qui lui à alors mis en place un pousse seringue, avec une perfusion à la jambe gauche.
Il y à alors eu un questionnement général dans l'équipe, si Mme.T s'étouffe, qui prendra la responsabilité de pousser la seringue afin de soulage la résidente ?
Il y avait pour certains une question d'éthique,d'autres ne se sentais tout simplement pas capable
Mais aussi, une responsabilité de respecter la loi, mais le pousse seringue respecte la loi Leonetti qui dit que :
- « L’obstination déraisonnable » du corps médical et la « prolongation artificielle de la vie » du patient (articles 1 et 9) sont proscrites, y compris lorsque ce dernier est hors d’état d’exprimer sa volonté. Le médecin peut prendre le risque d’abréger la vie du patient en lui administrant une dose de soins palliatifs qu’il juge nécessaire à son confort, à condition d’en informer le patient, éventuellement la personne de confiance ou un proche (article 2).
- La décision de cesser l’administration d’un traitement, lorsque le prolonger semble relever de « l'obstination déraisonnable » doit être collégiale et ne peut être prise qu’après consultation de la « personne de confiance », de la famille, ou à défaut d’un de ses proches et des « directives anticipées » du patient (articles 1 à 9).
- La volonté du patient de limiter ou de cesser un traitement doit être respectée (articles 5 à 9). Le patient doit être informé des conséquences de sa décision
- L’avis de la « personne de confiance », choisie par le patient pour l’accompagner dans ses démarches et, si le patient le souhaite, dans ses entretiens médicaux, doit être consulté (articles 2, 5, 8 et 9)
4 jours avant son décès Mme.T à reçut la visite de son petit fils, et c'est a partir de ce jour que l'on vu la situation s'aggraver.
Lors de mon dernier jour de stage je suis aller aider l'équipe douleur pour la toilette de Mme.T
Quand nous sommes entrer Mme.T était très affaiblie, ne parlais plus depuis la veille.
Nous avons commencer la toilette, l'aide soignante de l'équipe douleur lui à fait un soin de bouche, quand la patiente à essayer d'avaler sa salive, elle à fait une fausse route, mais différente de d'habitude, c'est alors que nous avons appeler l'infirmière, quand elle est arriver elle à essayer de calmer la patiente,lui faire reprendre sa respiration correctement. Après que Mme.T se soit calmer et qu'elle est repris sa respiration l'infirmière à quitter la chambre.
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