La répartition des richesses au niveau mondial

Chapitre 12 : la répartition des richesses au niveau mondial

1. Les inégalités de richesse entre les pays

Si les échanges entre pays se sont accéléré ces dernières années, les effets de la croissance ne sont pas identiques pour l’ensemble des pays. La croissance mondiale des revenus a ainsi permis une amélioration globale du niveau de vie mais celle-ci ne s’est pas toujours réalisé au bénéfice d’une réduction des inégalités de richesse entre les pays.

En effet les pays dits développés créent encore aujourd’hui plus de la moitié de la richesse mondiale alors qu’ils représentent moins de 20% de la population de la planète. Les richesses sont donc très concentrées et l’écart entre les pays les plus riches et les pays les plus pauvres c’est beaucoup accru au cours du dernier demi-siècle.

Pourtant depuis la fin des années 80, et l’essor de la mondialisation économique, ses inégalités tendent à se réduire pour certains pays que l’on a appelé pays émergeant.

Le taux de croissance de ses derniers est beaucoup plus élevé en moyenne que celui des pays riches et leurs permet donc d’amorcer un rattrapage en termes de revenu et de développement, même si les inégalités dans ces pays se sont elle-même beaucoup accru.  

Pourquoi est-il important de limiter les inégalités ?

Pour 2 raisons :

• Sociaux politique : maintenir la cohésion interne à la fois dans les différents pays et au niveau international, autrement dit c’est un facteur d’équilibre, à contrario de trop fortes inégalités sont un facteur de déséquilibre avec deux conséquences potentielles : conséquence interne (menace sur la démocratie) ; conséquence international (le regain de tensions et le retour de la menace de guerre beaucoup plus importante que l’on avait oublié depuis les années 70-80)
• L’efficience économique : lorsque l’on a trop d’inégalité, cette efficience est beaucoup plus difficile à atteindre. De trop grande inégalité freine l’émergence des classes moyennes (partie de la population qui auras un revenu suffisant pour tirer la croissance grâce à sa consommation), soit peut menacer leur existence même.

De trop forte inégalité ne sont pas souhaitable et sont dangereuse, elles posent des problèmes économiques.

Les inégalités ne sont acceptables qui si elles sont considérées comme légitime (ceux qui disposent soit d’une statue sociale plus important doivent en contre parti produire des biens publics au niveau national ou au niveau mondial, des biens qui sont indispensable au fonctionnement d’une société développé et pas forcément matériel), un pouvoir quelconque doit être légitime, s’il ne l’est pas il n’y a pas d’adhésion en termes d’efficacité et créer une forte instabilité.

Biens publics : liberté fondamental (préservation de la démocratie), infrastructure qui fonctionne (éducation, administration générale), la prospérité, le partage équitable des richesses et la possibilité de vivre grâce à son travail.

Le pouvoir n’est légitime que si en contre parti il est en mesure de fournir des biens publics.

Ces inégalités minimales qui sont indispensable qui conserve la motivation, mais il faut des limites.

1. Les effets de la mondialisation économique sur l’évolution des inégalités

Mondialisation : le fonctionnement de l’économie devient un fonctionnement mondiale, inséparable du capitalisme.

1. Une zone subsaharienne encore marginalisé

La croissance mondiale n’a pas bénéficier à tous les pays de la même façon, certaines zones géographique ont un grand retard de développement et la pauvreté y subsiste fortement. Ces pays appartenant à la catégorie défini par les nations unis de PMA ( pays moins avancés) souffrent d’un retard de développement conséquent et d’un déficit de démocratie. L’Afrique subsaharienne est l’une des régions du monde qui regroupe le plus de PMA.

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