Les émotions dans le soin chez les étudiants de première année en soins infirmiers/ Véronique Levons
Commentaire de texte : Les émotions dans le soin chez les étudiants de première année en soins infirmiers/ Véronique Levons. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mily Ly • 25 Juin 2020 • Commentaire de texte • 800 Mots (4 Pages) • 1 930 Vues
UE 6.1 Fiche de lecture
Les émotions dans le soin chez les étudiants de première année en soins infirmiers/ Véronique Levons
Références bibliographiques
Auteur : Véronique Lovens
Titre de l’article : Les émotions dans les soins chez les étudiants de première année en soins infirmiers
Titre du périodique : Perspective soignante Date de publication : Avril 2008 Numéro du périodique : N°31
Pages de début et de fin de l’article : 66 à 74
Biographie de l’auteur
Veronique Lovens est sexologue à Liège (Belgique). Elle a débuté son parcours
professionnel par infirmière puis sage femme qu’elle a exercé durant 8 ans, où elle à
développé un intérêt pour la sexologie. Aujourd’hui elle possède un Master en Sexologie à l’université de Liège ainsi qu’une maîtrise à la faculté de psychologie
Bibliographie de l’auteur
Co- Auteur du livre « Corps soignant, Corps soigné » Sous la direction de Jacques Marquet, Nicolas Marquis et Nathalie Hubert. Editions Académia Harmattan - 2014
Résumé du document
Cet article met en avant les émotions par lesquelles un étudiant en soins infimiers va passer, sa position en tant que tel et des difficultés qu’il va rencontrer. Difficultés, qui vont lui permettre de « grandir ».
Trois émotions sont mises en lumière : les peurs, la joie et la fierté;
Mots-clés :
Apprentissage, expérience, peurs, joie, fierté, étudiant infirmier.
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UE 6.1 Fiche de lecture
Les émotions dans le soin chez les étudiants de première année en soins infirmiers/ Véronique Levons
Notes de lecture :
Exploitation personnelle du document :
L’article met en évidence dans un premier point le fait que l’étudiant entre dans cette
formation par choix, par « son désir d’apporter des soins à une personne en demande »
(p 67), démontrant une tendance naturelle à l’allocentrisme, car il doit en entrant dans cette formation suivre un nouveau code, parfois ressenti comme aux antipodes de celui qui lui à été inculqué.
L’article ouvre alors quatre points, approfondissant le ressenti ou même les émotions qui se montrent fréquemment observés.
Dans le premier temps la lumière est faite sur le sujet que l’étudiant entre dans un milieu où les interdits, comme « l’incursion dans l’intimité » (p 69) dévient nécéssaire et a fortiori autorisé, il doit alors intégrer ses nouvelles règles, qui, dans cette sphère ne rentrent pas dans l’irrespect d’autrui et qui font alors écho à son altruisme, car il va pouvoir alors aider autrui. Vient ensuite le second axe qui traite « la peur de mal faire » (p 70), cette peur qui pour Veronique Lovens, en plus d’être « légitime » (p 70) permettra à l’étudiant de commencer à adopter un début d’attitude professionnelle.
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