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Recueil de données cabinet infirmier

Étude de cas : Recueil de données cabinet infirmier. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  4 Décembre 2022  •  Étude de cas  •  358 Mots (2 Pages)  •  342 Vues

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Madame Z, 78 ans est prise en charge par le cabinet infirmier depuis le 16/09 dû à une fracture du fémur. Et a donc bénéficié d’une chirurgie visant à rétablir cette fracture, qui lui a enlevé toute mobilité et beaucoup de douleurs.

Il fallait donc la déplacer en bloc, utiliser une lève malade tout en étant très vigilant au moindre mouvement… Elle a également eu plusieurs antécédents chirurgicaux, comme l’implantation d’une prothèse de hanche.

Elle est diabétique de type 2, on lui prend son dextro tous les jours malgré le fait qu’elle ne soit pas insulino-dépendante. Elle ne prend pas de traitement spécifique, à part pour diminuer sa douleur qui est traitée par antalgique PARACETAMOL 500 mg.

Elle dispose d’une toilette complète au lit tous les matins avec l’aide totale du soignant. Elle porte des protections la nuit mais aussi la journée car elle a une incontinence fécale et urinaire.

En plus de ses repas, nous lui faisons boire des boissons lactées hypercalorique et hyperprotéinée contre la fonte musculaire.

Elle pèse 79 et mesure 16Ocm, ce qui fait qu’elle est en surpoids.

Elle porte des lunettes pour équilibrer le vieillissement de ses yeux, et porte des appareils auditifs.

Elle est veuve et vit seule chez elle, mais elle bénéficie de la visite de sa fille trois fois par jours, nous passons aussi trois fois par jour chez elle et une auxiliaire de vie vient matin, midi et soir lui apporter une aide pour le repas.

Elle n’a pas de troubles cognitifs, elle est capable de dire ce qu’elle ressent et ce qui l’énerve, malgré quelques désorientations.

Elle n’a pas de mesure de protection. Elle est prise en charge socialement par la … elle est évaluée à GIR … et bénéficie de l’APA ??

A ce jour, la douleur dû à la fracture est moins forte est donc nous ne la déplaçons qu’avec le verticalisateur. Les médecins se sont aperçus qu’elle avait un écart de quelques centimètres entre la jambe gauche et la jambe droite, elle porte donc une semelle épaisse dans ses chaussures afin de diminuer l’écart. Elle fait des séances de kinésithérapie deux fois par semaine pour tenter de retrouver sa mobilité.

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