Analyse de pratique professionelle en pschychiatrie. ESI 2 semestre
Analyse sectorielle : Analyse de pratique professionelle en pschychiatrie. ESI 2 semestre. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dltndy • 2 Octobre 2016 • Analyse sectorielle • 681 Mots (3 Pages) • 1 133 Vues
Analyse de pratique professionnelle
Lieu : J’ai effectué mon stage danS un foyer de 19 lit pour patient stabilisé en vue d’un placement dans une structure ou d’un retour à domicile. J’ai été accompagné chaque jour par 2 infirmiers ainsi qu’un agent d’entretien.
Présentation de la situation : La situation dans laquelle je me suis senti en difficulté a été un entretient infirmier avec une patiente qui parlais peu la langue française et qui était fortement sédatée. Ce jour-là je suis arrivé 14h pour prendre mon service, nous avons effectué les transmissions avec l’équipe du matin. Peu de temps après alors que j’étais dans le bureau infirmier avec un infirmier, une patiente est entré et souhaitait nous parler. Elle était lente, sa diction était également ralentie et elle n’articulait très peu. Face à cette difficulté de communication, j’ai décidé de prendre les devants et de mené cette entretient en posant des questions a la patient qui acquiesçai ou non. Lorsque j’ai abordé le sujet du sommeil la patiente a semblé satisfaite et a acquiescé à la question « avez-vous des problèmes pour dormir ou durant votre sommeil ». J’ai alors compris que cette patiente était venue pour nous parler d’un problème de sommeil. J’ai compris que la patiente été dérangée dans son sommeil mais je n’arrivais pas à en connaitre la cause. L’infirmier présent avec moi à ce moment-là à parler en arabe a la patiente. Après un bref échange il s’est tourné vers moi pour me dire que le problème était que la voisine de la patiente mettait son réveil à 6H45 ce qui réveillai la patiente qui n’arrivais plus à ce rendormir.
Difficulté : Les difficulté rencontrés ont d’abord été que la patiente été fortement sédatée, ce qui l’empêchai de formuler des phrases structurer et compréhensible. Pour palier a cette difficulté j’ai pris les devants de l’entretient en posant les questions. Même si la patiente était sédatée elle pouvait encore hocher la tète pour se faire comprendre. La seconde difficulté a été la barrière de la langue. Même si la patiente ne m’en a pas parler, elle devais peut être avoir du mal à comprendre certain mots que je pouvais employer, et elle ne pouvait exprimé clairement ses attentes à cause de son manque de vocabulaire. La dernière difficulté rencontré a été de négocier avec la voisine de la patiente pour qu’elle retarde son réveil et ainsi ne plus réveiller cette patiente
Analyse : Dans cette situation j’ai donc rencontré 3 principales difficultés, la sédation de la patiente, la langue peu maitrisée de la patiente et la dernière a été la négociation avec l’autre patiente. Lorsque la patiente a commencé à s’exprimé sans que je puisse comprendre je me suis senti en difficulté, l’infirmier à mes côtés m’a alors conseiller de lui poser des questions. Cette réponse au problème m’a permis de contourner le problème de la sédation en utilisant ces capacité non altéré (hochement de tête). A partir de ce moment j’ai senti que l’entretien pouvais avancer. Mais lorsque j’ai trouvé le sujet du problème, je n’arrivais pas à comprendre clairement qu’elle en était la cause. Pour pallier à ce second problème, l’infirmier présent avec moi a posé une question en arabe a la patient ce qui lui a permis de lui répondre dans sa langue avec les termes adéquats pour comprendre la cause précise du problème. A partir de ce moment-là, j’ai senti que nous allions pouvoir faire ce qui fallait pour la patiente. Le dernier problème rencontré a été de négocier avec l’autre patiente pour avancer l’heure de son réveil. J’ai alors utilisé des arguments construit pour faire comprendre à la patiente que son réveil gênai réellement sa voisine et que se levé à 6H45 n’était pas utile sachant que le déjeuner était ouvert de 7H à 8H30. La patiente a alors accepté de reculer l’heure du réveil ce qui a permis par la suite à la patiente de finir ses nuits correctement. La semaine suivante la patiente était encore sédaté à cause de son traitement mais semblais plus reposée. La patiente ne s’est plus plein jusque-làfin de moins stage
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