Les grands domaines de la psychologie
Cours : Les grands domaines de la psychologie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nadia Werding • 8 Avril 2017 • Cours • 4 163 Mots (17 Pages) • 1 075 Vues
UE.1.1.S1 Les grands domaines de la psychologie
I) Histoire de la psychologie
C’est au cours du 18 e siècle que certains penseurs avaient des réflexions sur l’âme.
Le questionnement sur le sens de la vie, la destinée de l’être humain et la raison de son existence faisait partie de la métaphysique.
Dans un deuxième temps, la métaphysique sera influencé par le développement des sciences, la science inclus une méthodologie qui comprends l’expérimentation, la construction d’hypothèse et la vérification de l’aboutissement d’une théorie généraliste.
Dès lors l’étude de l’âme va être abandonnée au profit de fait observable concret, bref de ce qui va être intégrable à la conscience et à la réalité observable.
L’être humain sera observer et pourra s’observer tel qu’il est possible de le faire face au miroir.
C’est donc au 19e siècle qu’apparait la psychologie à proprement dit en tant que discipline qui se base sur de l’observable et de l’expérimentable, on parlera alors de psychologie scientifique.
Il y a deux grands courant qui naissent de ses approchent :
- celui qui à consister à rapprocher des faits de conscience et les travaux de physiologie (l’étude des perceptions, des sensations tout en demandant au sujet un effort d’introspection (pouvoir ce penser, ce réfléchir)).
- Séparer de l’introspection, des chercheurs comme FECHNER ce sont intéresser à la mesure des sensations. Il a donc étudié le rapport entre l’intensité des stimulations et l’intensité de sensations convoquées. Il est le fondateur d’une sous discipline appeler la psychophysiologie (physiologie=chimie de notre corps). A partir de là des recherche on était effectué sur la mémoire, on a découvert que nous avons tous une mémoire immédiate dont la performance est mesuré par ce qu’on appelle l’empan mnésique. Mais nous avons aussi tous une mémoire à long terme.
II) Quelques domaines de la psychologie actuelle
Psychologie comportementaliste
C’est le courant behavioriste qui a était à l’origine de la psychologie comportementaliste, cette approche consiste à ce concentré sur le comportement observable et elle a eu un grand essor dans la 1ere moitié du 20e siècle.
WATSON en 1913 qui développe ce courant behavioriste en réaction à la psychologie du moment qui se voulait plutôt subjective et privilégier l’introspection.
Il propose d’éliminer tous les phénomènes de la conscience et de n’étudier que les comportements objective et manifeste en vue d’établir une relation de cause à effet.
Le comportement est étudié comme fonction des stimuli (un stimulus applique une réponse).
On ne s’intéresse pas à ce qui ce passe entre le stimulus et la réponse, le fonctionnement interne du sujet est nommé boite noir, c’est-à-dire que on observe que, le stimulus et la réponse (Ex : y’a un bruit (stimulus) et le mec cours (réponse)).
S → R (→ = BN)
L’origine de cette méthode d’étude commence par des travaux PAVLOV sur les chiens et le conditionnement salivaire.
Il a remarqué que les chiens commençaient à saliver dès l’audition des bruits de pas des gardiens qui leur ramener à manger.
Il y a deux types de conditionnements :
- le conditionnement classique : un sujet est passif (parce qu’il ne fait rien, il ne prend pas part au protocole)
ex de protocole:
Si = Stimulus Induit
RI = Réponse Induite
SN = Stimulus Neutre
SC = Stimulus conditionné
RC = Réponse Conditionné
1) bruit métallique (SI) → peur (RI)
2) animaux blancs (SN) + bruit métallique → peur (RI)
3) SN devient SC → peur (RC)
- Opérant, instrument : se développe les années 30 une impulsion de Hull et Skinner.
Le sujet intervient entre les deux évènements (entre le stimulus et la réponse).
Il n’est plus passif mais actif. Il s’appuie sur une loi qui établit que le comportement est fonction de ses conséquences.
Cela va permettre de développer des notions telles que le renforcement, le façonnement et d’apprentissage programmé. Ce courant admet qu’il y a des variables interne mais il qualifie la pensé et les émotions comme des évènements privé et donc n’en tient pas compte.
Ex de renforcement positif (on reçoit quelque chose d’agréable) → augmente la probabilité d’un comportement : rat doit appuyer sur un bouton pour recevoir une croquette, va le faire de plus en plus. Bouton = entre stimulus et réponse, donc le rat doit faire quelque chose.
Renforcement négatif (on enlève quelque chose de désagréable) : Rat dans la cage et reçoit des décharges électrique, appuie sur le levier et les chocs électrique, une fois qu’il a compris il le fera tout le temps.
Punition négative : Rat dans la cage, appui sur le levier, reçoit une décharge, ne va plus le faire.
Punition positive : rat appui sur levier, nourriture tombe, ne va plus le faire.
Conclusion : L’objet du behaviorisme c’est le comportement observable.
Ce schéma ni l’individu comme élément particulier et singulier → boite noir.
S→R→C (comportement dépend de la réponse de comportement)
Critique du courant behavioriste : il a était critiquer dès le début à cause de son partie pris anti-psychique.
PIAGET a démontrer qu’on ne pouvait pas résumer l’intelligence à des phénomènes d’apprentissage et d’imitation sur le modèle de l’éthologie animal.
Les behavioristes ne s’intéressent qu’a la partie émerger de l’iceberg (symptôme) délaissant la partie immergé (le psychisme).
A partir des années 70, le behaviorisme radicale a perdu de son influence, on sait dès lors intéresser aux conduites comme objet d’étude en réhabilitant tout ce qui est des processus de traitement de l’information, on s’est focaliser sur la cognition (c’est l’étude des processus par lesquels une information est perçu, transformer, réduite, élaborer, récupérer et utiliser).
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