Henri Bergson sur la conscience

Philosophie

Expliquez le texte suivant. La connaissance de la doctrine de l'auteur n'est pas requise. Il faut et il suffit que l'explication rende compte, par la compréhension précise du texte, du problème dont il est question.

Introduction :

Objet ; Dans ce texte d’Henri Bergson il est question de la conscience de façon principale. La conscience c’est une organisation de son psychisme et qui lui permet d'avoir connaissance de ses états, de ses actes et de leur valeur morale, lui permet de se sentir exister, d'être présent à lui-même.

Problème : L’auteur émet l’existence d’une certaine « conscience animale » qui est opposé à l’habituelle conscience humaine, alors en quoi consiste cette dernière ? Bergson nous présente une interrogation sur les différentes caractéristiques de la conscience chez l’homme et l’animal, sont-elles de même nature, ou bien sont-elles significativement opposées l’une de l’autre ?

Thèse : Bergson affirme ici que les capacités et les faculté d’apprentissage des hommes sont illimités contrairement aux animaux qui est limités. Il explique cette différence de fait que l’homme a conscience de sa propre existence tandis que l’animal répond instinctivement à des besoin vitaux. Ce texte nous pousse alors à élaborer notre réflexion sur le concept de la « conscience animale » de ce que c’est ? De si la conscience humaine est synonyme de liberté au contraire de celle de l’animal

Articulation : Ce texte s’articule donc sur deux idées qui forment alors deux grandes parties. Bergson montre d’abord les capacités intellectuel et cérébrale de l’humain par rapport à celui de l’animal a diffèrent degré (« Comment…nature »). Il montre par la suite, la conscience humaine et le manque conscience chez l’animal (« Radicale…libère »)

I) Idée générale de la partie, fonction argumentative :  

Dans cette première partie du texte de Bergson, remet en question les capacités de l’humain et des capacités intellectuel et cérébrale.

I-a  

Bergson émet un constat sur les facultés d’apprentissage que l’homme est capable d’effectuer, d’apprendre, ou bien de fabriquer. L’auteur effectue ici par le biais d’une forme interrogative, un retour sur soi et sur sa conscience en tant qu’être humain en la comparant à celle d’un animal. Bergson émet alors l’idée que les facultés intellectuel des animaux en sont très limités, même l’animal qui semblerait le plus proche l’humain comme le singe, serait tout autant limité de ses fonction en cause de sa conscience inégalé a l’homme. L’auteur trouve alors comme caractéristique cérébrale le cerveau pour souligner davantage cette différence de conscience qui est : le cerveau

I-b

Tous les cerveaux grâce à une chaine d’enchainement de mécanisme permettrais alors d’accomplir différentes tâches et objectifs. Cependant, chez les animaux cette capacité cérébrale est bien moins développée et bien plus limité que chez les hommes. Ces mécaniques du cerveau humain donne lieu à une multitude de choix et de solution qui lui permet alors d’évoluer dans un environnement et d’apporter de nouvelle vision des choses. Les animaux quand a eu, sont restreint d’un choix limité. Bergson ne voit pas cette « différence de degrés mais de nature » alors que, pour Descartes l’animal est une machine et ne possède pas de conscience. Hume est bien moins catégorique, il voit une différence de degrés et non de nature entre l’animal et l’homme : « Les bêtes sont douées de pensée et de raison tout comme les hommes »

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