Explication de texte Henri Bergson

Explication de texte Philosophie

Dans la vie nous sommes amené a faire des choix. Faire des choix dont nous sommes conscient et parfois influencé, mais il nous arrives de ne pas apercevoir cette influence. Ainsi nous nous pensons libre de choisir, mais en réalité, conscient de nous mêmes et de nos choix, notre conscience témoigne -t-elle de notre liberté ?

Dans ce texte, l'auteur, Henri Bergson selon lui notre conscience nous démontre notre liberté, et nous l'expose en prenant comme exemple lorsque nous venons de faire un choix, pour lui on est conscient qu'il y aurait pu y avoir d'autres choix possibles et donc de ce fait vient le sentiments de regret et de remords pour nous le prouver.

En effectuant une analyse linéaire on peut donc relever trois parties. La première partie de la ligne 1 à 4, ou l'auteur nous montre que la conscience face a  ces choix elle analyse les raisons, les possibilités de l'action et qu'elle peut aussi nous permettre de les éviter donc que ici notre liberté est fondée sur le fait que notre conscience peut choisir comme peut aussi ne pas le faire. La seconde partie est de la ligne 5 à la ligne 8, dans cette deuxième parties du texte il affirme que le sentiment de regret et le remords témoigne de notre liberté. Puis dans une troisième parti de la ligne 8 à la fin, qui explique que le remords est basé sur le même principe que le regret d'après lequel on ne peut se sentir mal après avoir accomplie l'inévitable.

Dans un premier lieu, selon l'auteur il y a différents élément qui prouve l'affirmation de notre liberté. Tout d'abord il commence par aborder le comportement avant d'accomplir l'action "Avant d'accomplir une action, quelle qu'elle soit, nous pourrions nous en abstenir", donc la avant même de prendre la décision, ma conscience intervient immédiatement et me fait comprendre que j'ai le choix, et donc que je suis libre de choisir ce que je veux. Si par exemple, je vais chez le concessionnaire acheter une voiture, je peux choisir une voiture Peugeot, Ferrari,Citroën ou Nissan. Alors je suis bien conscient d'avoir le choix entre ces quatre voitures. Si maintenant je choisis la voiture Citroën, et bien je suis le seul a décider sans influence, il n'y a donc que ma volonté qui a déterminé le choix. J'aurais pu m'abstenir d'acheter cette voiture, et en décider autrement mais je l'ai fais. Ensuite, Bergson nous dit comme quoi avant l'action nous avons chacun des raisons d'agir. Comme avant de choisir la Citroën, je sais que je la choisis pour sa simplicité, de même lorsque je décide d'acheter la Nissan pour son autonomie, ou bien la Ferrari pour sa luxure, ainsi nous pouvons alors parler de libre arbitre, qui est le fait de choisir ou de ne pas choisir selon sa volonté. Puis l'auteur commence à analyser le comportement après le choix.

Le philosophe vient de nous démontrer que lorsque nous devons choisir, nous devons le faire a nous appuyant sur notre libre arbitre. En second lieu Bergson étudie ce qui peut venir après le choix, donc l'expression de certains sentiments tels que le regret ou le remords. Le regret s'expliquerait alors par une peine causé, par l'impression qu'on aurait pu faire autrement , d’où le "si j'avais su, j'aurais autrement agi, j'ai eu tort.". Par exemple en achetant la voiture Citroën, j’apprends par la suite que cette voiture est un modèle trop ancien donc n'est plus compatible pour installer ma remorque. La, nous avons le regret car si j'avais su que elle était pas compatible avec ma remorque, j'aurais pas acheté celle la,  j'ai eu tort. De plus il affirme que l'on ne regrette pas "ce qui ne pouvait pas être autrement qu'il n'a été", par exemple, je ne peux m'en vouloir de ne pas être allé au concessionnaire si les route de ma campagne n'était pas dégagées par les chasses neige. Dans cette situation je n'était pas maître de mes actes, or si les routes étaient dégagées mais que j'avais juste envie de pas sortir, alors, dans ce cas j'aurais pu avoir des remords, car j'avais décidé de ne pas sortir alors que j'aurais pu. Si je n'avais pas été libre de rester ou non chez moi et bien dans ce cas, je n'aurais pas ressentis de remords,

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