Cours: l'école des relations humaines
Analyse sectorielle : Cours: l'école des relations humaines. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 17 Novembre 2013 • Analyse sectorielle • 1 063 Mots (5 Pages) • 1 024 Vues
Chapitre 2 L'école des relations humaines
Influence théoriques: crise de 1929, mouvement de contestation de l'école classique et du rationalisme. L'organisation au sens de taylor disfonctionnait, apparition des premiers mouvements syndicaux qui se créer autour de l'opposition de l'OST
C'est aussi la période de la naissance de l'ergonomie (étude de l'homme dans son milieu/environnement de travail). Elle va permettre de mettre en avant l'individu mais aussi ses facteurs psychologiques, physiologique, les rôles des conditions de travail sur la productivité des individus.
Freud et tous ses travaux sur la psychologie appliqué.
Les psychosociologues: étude de l'individu, ses relations sociales au travail.
Marie Parcker Follet: c'est la première à avoir travaillé sur les notions de conflits de groupe et de pouvoir. Elle va remettre en cause l'idée qu'il existerait une soumission à une autorité absolue à laquelle elle préfère la notion d'autorité partagé. "décentralisation organisationnelle".
Elle a étudié les sorties de conflits, elle a étudié trois grandes stratégies de sortie de conflits: soumission/domination, intégration, compromis. La stratégie à adopter pour sortir du conflits: intégration et essayé de trouver un solution nouvelle.
L'interdépendance entre les individus est le plus important. L'interdépendance supplante l'individualisme.
I. Mayo(1880-1949)
Expérience de Hawthorne à la Western Electrique.
Il est psychosociologue, il va chercher à travers l'étude des conditions de travail à expliquer le disfonctionnement des organisations taylorienne en insistant sur le facteur humain.
Il considère que c'est l'attention porté au salarié qui améliore la productivité.
L'attention que l'on donne au travailleur leur permet d'améliorer leur productivité. Il met en évidence le rôle des relations interindividuel dans le groupe comme influençant positivement leur positivité, et le rôle du leader (rôle fondamentale dans la productivité de ce groupe) , la motivation, l'implication des individus est fonction des relations sociales à l'intérieur des organisations et non pas des conditions de travail ou des facteurs matériels.
Donc il faut intégré le salarié dans l'organisation en tant que groupe social (sentiment d'appartenance), il faut un leadership qui favorise la coopération: estimer les gens avec qui on travail, favoriser la cohésion de groupe.
II. Les besoins à satisfaire.
A. Maslow
1,2 sont des besoins primaires
3,4,5 sont des besoins secondaires
"Est ce que les besoins sont simultanés?" Aldelfer
Aucune étude n'a jamais trouver de lien entre besoins satisfaits et motivations.
B. F.Herzberg (1923-2000)
Auteur de la théorie bifactoriel, il classe les besoins en deux catégories:
-les besoins élémentaires sans lesquels l'homme ne peut pas vivre (sécurité, affection, réalisation de soi, considération, reconnaissance).
La satisfaction de ses besoins n'est pas source de motivation
-les besoins secondaires (réalisation, création).
Ils sont facteurs de motivations. Ils sont divisés en deux: facteur de motivation (prestige, réalisation de soi, carrière; s'ils ne sont pas satisfait alors démotivation) et d'insatisfaction (facteur d'hygiène: besoin de sécurité, salaire,...)
Si ces facteurs d'hygiène ne sont pas satisfait alors démission.
Herzberg à une autre théorie. Il s'agit de la notion d'enrichissement du travail (enrichissement des tâches et la rotation des postes) qui sont des moyens de satisfaire une partie des besoins secondaires.
L'entreprise doit donc, selon lui, éviter le mécontentement de ses salariés, et chercher à provoquer leurs motivations.
III. Conséquences des styles de management sur les groupes.
A. K.Lewin
Il
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