LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Psy1401 TN1 Introduction à la psychologie cognitive

Fiche de lecture : Psy1401 TN1 Introduction à la psychologie cognitive. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  12 Juin 2023  •  Fiche de lecture  •  2 973 Mots (12 Pages)  •  243 Vues

Page 1 sur 12

PSY40001

Travail noté 1

Introduction à la psychologie cognitive

[pic 1]

PSY4001

Introduction à la psychologie cognitive

TRAVAIL NOTÉ 1

Questions sur les chapitres du manuel (30 %)

        Remplissez soigneusement cette feuille d’identité.

        Rédigez votre travail, en commençant à la page suivante.

        Sauvegardez votre travail de cette façon : SIGLEDUCOURS_TN1_VOTRENOM.

■        Utilisez le Dépôt des travaux pour acheminer votre travail à votre professeur ou son délégué. http://www.teluq.ca/mateluq/

Feuille d’identité

Nom             Blondin                Prénom             Annick        

Numéro d’étudiant             20280985                Trimestre             automne 2022        

Adresse                     

                     Code postal                     

Téléphone        Domicile             450-438-9994                Travail                     

        Cellulaire                     

Courriel             blondin.annick@univ.teluq.ca        

Nom du professeur ou son délégué        Sandra Guimond        

Réservé à l’usage du professeur ou son délégué

Date de réception                             Date de retour                     

Note                     

Date d’envoi                     [pic 2]


Chapitre 1

Question 5

Quels sont les processus cognitifs supérieurs ? Pourquoi sont-ils appelés « supérieurs » ? Pensez à un exemple de la vie quotidienne pour chaque processus et mettez-le par écris. Qu’avez-vous dû prendre en considération pour produire vos exemples ?

  • Les processus cognitifs supérieurs sont la motivation, l’imagination, la langue et la créativité. Ces processus sont appelés supérieurs, car ils nécessitent un effort plus soutenu pour les mener à bien. Ils sont responsables d’intégrer les informations et de les porter au maximum.

Voici un exemple pour chacun des processus

  •   Motivation : Le petit déjeuner est un besoin de nourriture insatisfait, nous ressentons alors un certain inconfort qui est la faim, ce qui nous pousse à faire quelque chose qui est d’arrêter ce que nous faisions en vue de satisfaire le besoin qui est de manger, qui nous ramènera, à notre activité de départ jusqu’à ce que le besoin soit à nouveau insatisfait.
  • L’imagination : lorsque l’on discute au téléphone avec un ami, ce dernier se confie à vous en vous expliquant comme il se sent, l’imagination joue un rôle important dans le processus de compréhension et vous donne la possibilité de vous mettre à la place de celui-ci et d’imaginer ses pensées et ses sentiments.
  • La langue : Quand quelqu’un nous parle, et que cela ne nous intéresse pas vraiment, la politesse veut de ne pas l’interrompre. Notre langage corporel peut lui faire comprendre en bâillant, en regardant ailleurs ou en s’éloignant.
  • La créativité : Lors de l’élaboration du repas du soir, ce processus permet de produire de nouvelles idées, pour ne pas faire constamment la même recette de poulet ou de pâtes. Elle nous aide donc à trouver des solutions pour de petits ou de gros problèmes.

Pour produire mes exemples, j’ai dû prendre en considération les mécanismes de l’esprit pour des tâches faciles, mais qui demande une certaine recherche plus approfondie et comment le cerveau traitait ces données.

Chapitre 2

Question 4

  Que nous apprend l’expérience que Phillips a menée en 1974 au sujet des caractéristiques présumées du registre sensoriel ? Quelle est la différence entre une image sensorielle et une image visuelle ?

  • Le registre sensoriel peut être utilisé pour un appariement rapide des gabarits si les 2 formes présentées sont séparées par moins de 300msec et qu’elles sont présentées au même endroit.
  • L’image sensorielle est une image mentale tandis qu’une image visuelle est une image que l’on perçoit par le système visuel dans son ensemble.

           

Question 6

  Pourquoi discriminons-nous mieux les visages de notre propre groupe éthique ? En quoi le concept de « trait distinctif » nous aide-t-il à différencier les visages d’autres groupes ethniques ?

  • Reconnaitre les visages d’un même groupe ethnique est plus facile, car nous connaissons beaucoup mieux les traits distinctifs comme le nez, les yeux ou la bouche. Reconnaitre des visages à l’intérieur d’une même catégorie peut s’avérer difficile du fait que nous accentuons plutôt les traits nous permettant de distinguer entre les catégories que les traits nous permettant de distinguer l’intérieur des catégories. Il est particulièrement malaisé de distinguer parmi les visages d’une catégorie ethnique différente de la nôtre.

Chapitre 3

Question 7

  Comment mesure-t-on la capacité ?

  • Il faut mettre l’accent sur la quantité d’effort mental nécessaire pour accomplir une tâche et s’intéresser à la façon dont l’effort est distribué entre les différentes activités. Ces théories complètes la théorie du goulot en suggérant que la capacité d’exécuter simultanément plusieurs activités est limitée lorsque ces activités demandent une quantité d’effort mental qui dépasse les ressources.

Question 3

 Quelle est la différence essentielle entre les modèles du filtre de Broadbent et de Treisman ?

  • La théorie de Broadbent précise que le goulot opère, soit au niveau de l’étape de la perception, soit au niveau de l’étape de la reconnaissance ; quant à l’attention, elle est représentée, pas un ne filtre précédant chacune des deux étapes.
  • Celle de Treisman tient compte de la reconnaissance occasionnelle de mots en provenance d’un canal ignoré. Le filtre atténue le message ignoré, sans toutefois le rejeter complètement. Les mots importants, ainsi que ceux qui sont attendus, peuvent donc être reconnus à partir du canal ignoré, à condition que leur seuil soit suffisamment bas pour être atteint par le message ignoré.

Chapitre 4

Question 1

Qu’est-ce que le nombre magique de Miller ? Pourquoi est-il magique ? Pourquoi l’article écrit par Miller en 1956 est-il célèbre ?

  • Une indication sur le nombre d’éléments que l’on peut mémoriser sur une courte durée. Cette indication peut également être employée pour estimer notre capacité à traiter les informations. Le nombre 7 qui a longtemps hanté Miller a continué à se manifester dans deux types différents d’études : celles qui portent sur le jugement absolu et celles qui portent sur l’empan de mémoire qui seraient donc de 7 plus ou moins 2. L’article de Miller est important parce qu’il a attiré l’attention sur la faible variation de la limite supérieure dans les taches de jugement absolu et de mesure de l’empan de mémoire. Il suggérait que le recodage de l’information dans le but de créer des regroupements peut nous aider à dépasser la limite de capacité de la MCT.

Question 9

 Quelles sont les modifications apportées par Baddeley dans la révision de son modèle de la mémoire de travail ? Pourquoi cette révision a-t-elle été nécessaire ?

  • Baddeley a ajouté un quatrième composant qui est la mémoire tampon épisodique qui sert de registre à capacité limitée capable d’intégrer les informations en provenance du calepin visuo-spatial et de la boucle phonologique. L’inclusion de la MT a aussi été ajoutée. Elle représente la tentative d’améliorer la compréhension de l’interaction entre la mémoire de travail et la MLT. La révision fut nécessaire, car le centre exécutif a été de plus en plus considéré comme le composant contrôlant l’attention, ce qui laissait leur modèle impuissant à expliquer comment nous combinons des informations issues de modalités sensorielles différentes.

Chapitre 5

Question 5

...

Télécharger au format  txt (17.6 Kb)   pdf (136.7 Kb)   docx (218.7 Kb)  
Voir 11 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com