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Concept de bases en psychologie

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Par   •  4 Avril 2023  •  Étude de cas  •  1 645 Mots (7 Pages)  •  287 Vues

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Concepts de base en psychologie

 

 

 

  1. Qui est le précurseur de la psychanalyse ?

 

Le précurseur de la psychanalyse est Sigmund Freud (1856-1939) après avoir fait son initiation de l’hypnose avec Charcot, il s’éloignera de ce courant pour créer la psychanalyse.

 

  1. Quel est l’objectif de la psychanalyse ?

 

La psychanalyse a pour but de guerir les troubles psychiques. C’est-à-dire de faire revenir un ou les souvenirs douloureux de l’inconscient vers la conscience. C’est en faisant au patient une « prise de conscience » de ses traumatismes qui permet de soulager les troubles psychiques.

 

  1. Donnez des exemples de souvenirs consciemment oubliés par des patients dont l’état nécessiterait d’envisager une psychanalyse. (Par exemple, des patients veulent volontairement « oublier » ou « refouler » des faits dramatiques qu’ils ont vécus durant leur enfance.)

 

La psychanalyse met en lumière que tout événement traumatisant qui est survenu au cours de l’enfance peut etre source d’angoisse ou de névrose qui se manifesterait alors dans la vie du patient. Les différentes phobies peuvent faire l’objet d’une psychanalyse. Un patient qui dans son enfance a eu une mauvaise expérience avec les oiseaux pourraient aujourd’hui avoir encore un effet sur la vie du patient. A noter que l’expérience peut etre egalement ce qu’on pourrait appeler une phobie visuelle. Beaucoup de personnes ont été traumatisés par le film Les oiseaux ou Les dents de la mer, regardé dans leur jeunesse et ont par la suite developpé cette phobie dans leur incinscient. Ou encore nous pourrions parler de l’abandon. Les dernières générations (X, Y, Z) ont été très touchées par le divorce de leurs parents, ou encore par des violences survenues durant la petite enfance. Cela donne un traumatsime refoulé dans l’inconscient qui perturbe les relations avec d’autres personnes dans la vie adolescente ou adulte. Le patient se plaint de ce problème relationnelle dont il conscience sans faire le lien avec un traumatisme arrivé dans son enfance. Prenons l’exemple du jeune homme forcé à vivre avec son père à la suite d’un divorce va transmettre son manque dans sa relation amoureuse et créer une dépendance maladive et nocive. Pour les traumatismes et les phobies la psychanalyse pourrait permettre de faire revenir à la conscience ces souvenirs et les combattre. La psychanalyse se veut mettre en lumière les traumatismes afin de mieux les combattre car le patient en connait alors l’origine et l’explication.

 

  1. Que peuvent révéler les lapsus et autres actes manqués ?

 

Définissons tout d’abord ces deux choses. Le lapsus est une erreur commise en parlant ou en écrivant, à son insu. L’acte manqué lui, selon Freud, est la manifestation d’un désir inconscient dans une action.  Ils peuvent tout deux révéler des désirs ou des pulsions refoulés dans notre inconscient. Pour Freud ils sont des manifestations névrotiques, un acte psychique qu’il faut prendre au sérieux contrairement aux autres psychologues de son époque qui voyaient ce trait sous la forme d’une inadvertance sans intérêt. Freud y voit là une base d’étude pour la psychanalyse.

 

  1. Définissez, en les comparant, le sadisme et le masochisme.

 

Il s’agit ici de deux perversions, qui sont souvent liées l’une à l’autre. Le sadisme provient du célèbre marquis de Sade et de ses romans libertins dans lesquels on peut découvrir un penchant à éprouver du plaisir en faisant souffrir les autres. Nous avons même parfois le terme de jouissance car le sadisme se porte énormément sur l’aspect sexuel. Il est n=bien souvent accompagné par une autre perversion, le masochisme. Lui montre un état dans lequel la personne éprouve du plaisir à être humiliée ou à souffrir.  

 

  1. Définissez les instances des deux topiques psychiques.

 

Freud a travaillé à concevoir différentes théories sur l’appareil psychique. Pour la première topique Freud voit trois grands systèmes ; Le conscient, dirigé par le principe de réalité il perçoit le monde extérieur telle que la perception sensorielle et concerne la vie psychique intérieure qui sont les pensées. L’inconscient, il est tout ce qui est refoulé tels que les désirs infantiles, les interdits de la société ou les désirs interdits. Et finalement le préconscient, qui est l’intermédiaire entre les deux précédents et renferment tout ce qui n’est pas accessible à la conscience sans effort, tels que les prémonitions, les pulsions etc.

Dans la deuxième topique, apparue bien plus tard (1920), l’appareil psychique est de nouveau divisé en trois instances ; le Ca, il est situé dans l’inconscient et représente toutes les pulsions refoulées. C’est-a-dire qu’il est dirigé par le principe de plaisir, ce qui en fait une matière brute qui ne répond à aucune logique ou structure. Le Surmoi, provenant du complexe d’Œdipe, il reflète tous les interdits parentaux, ou ceux des lois de la société. Il est en lien avec le principe de réalité. Finalement, le Moi, est celui qui doit trouver le juste milieu entre l’expression du Surmoi et du Ca. Il est la personnalité du sujet et doit trouver à agir entre le principe de plaisir (pulsions etc.) et le principe de réalité.

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