HGGSP GAFAM

GAFAM

Chaque jour, des millions de personnes se connectent à Internet que ce soit pour regarder une vidéo ou leurs mails, pour effectuer un achat sur Amazon, pour faire une recherche sur Google ou pour aller sur les réseaux sociaux comme Facebook toutes ces entreprises représentent les : GAFAM  qui est l'acronyme des géant du web qui sont les cinq grandes entreprises qui représentaient fin 2020 les 5 plus grandes capitalisations boursières de la cote américaine qui sont Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft. Les GAFAM régissent la plupart de nos fait et gestes sur nos recherches, nos communications, nos logiciels et nos consommations.

Dans un premier temps nous allons présentés , puis dans un second  

Les GAFAM  gouvernent différents types de marchés : secteurs des recherches comme google, des informations, des réseaux sociaux par exemple facebook et du e-commerce comme amazon.  Afin de gérer ces entreprises ce sont Au total,  544 400 salariés qui travaillent au sein des GAFA en 2016 grace a eux la croissance des GAFAM est très rapide. Ces 5 entreprises totalisent une capitalisation boursière record. En 2018, Apple a franchi la barre des 1000 milliards de dollars et représente à elle seule environ un tiers de la capitalisation boursière totale. Ensemble, les GAFAM représentent plus de 3000 milliards de dollars, soit l’équivalent du PIB de l’Allemagne, qui la 4e puissance économique mondiale. Leur trésorerie cumulée est équivalente au PIB de la Suède (550 milliards de dollars). Ces entreprises sont devenues les plus grandes capitalisation boursières mondiales, elle menaceraient même la souveraineté des États.

Les taxes

Depuis des années, plusieurs États européens dont la France cherchent à taxer plus fortement les géants du net comme Google, Facebook, Apple ou Alphabet dont les bénéfices sont déclarés dans des pays où la fiscalité est moins élevée, comme le Luxembourg. La Commission européenne a présenté en mars 2018 un projet de loi visant à harmoniser la fiscalité dans l’Union européenne et à taxer les GAFAM. Beaucoup de sociétés du numérique avec une présence mondiale payent moins de 10% d’impôts contre 23% en moyenne pour les entreprises européennes.

Les géants du numérique profitent largement de ces écarts pour minorer leurs impôts. Car même si les Gafa (Google, Apple, Facebook, Amazon), et plus largement les multinationales de l'économie digitale (Uber, Airbnb, etc.), se déploient dans des secteurs différents, ils ont une particularité commune : proposer leurs services sur le web leur permet de localiser leur siège social dans un pays différent de celui où se trouvent leurs utilisateurs, ou a minima de pouvoir déclarer tout ou partie des bénéfices enregistrés dans le pays de leur choix.

Or dans les pays européens, les règles actuelles d'imposition des bénéfices sont fondées sur le principe de l'établissement stable. Autrement dit, l'entreprise paye des impôts sur ses bénéfices dans le pays où elle est présente physiquement. Une présence qui se mesure par le nombre d'employés ou encore le montant des actifs corporels : usines, terrains, machines, etc.

Par exemple, Google France n'a déclaré en 2018 qu'un chiffre d'affaires de 411 millions d'euros et a payé en France 17 millions d'euros d'impôts. Pourtant, les seules recettes publicitaires réalisées en France auraient rapporté à Google environ 2 milliards d'euros, estime le Syndicat des régies internet.

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