TD HGGSP

Question 1 à 4 P217 :

1. La liberté de  la presse est la moins bien assurée dans les pays de type autoritaire qui sont des pays où de nombreuses libertés comme celle-ci sont limitées. Par exemple, nous pouvons observer sur la carte du document 1 qu’en Chine, Corée du nord, Russie, Lybie… la liberté de la presse en 2018 est dans une situation très grave.
2. A contrario, ce sont dans les pays stables, développés et démocratique que la liberté de la presse est la mieux assurée. Par exemple, nous pouvons observer sur la carte du document 1 qu’en Suède, en Allemagne, au Portugal… la liberté de la presse en 2018 est dans une situation bonne.

1. Les autorités peuvent restreindre l’accès à une information libre par divers moyens. Tout d’abord, elles peuvent avoir accès à des moyens directs tel que la censure, l’emprisonnement de journaliste, des menaces etc… qui permettent de limiter l’accès aux informations libres. Elles peuvent également utilisaient des moyens indirects en adoptant des lois contre la diffamation qui entraine une hésitation de la part des médias lorsqu’il s’agit de publier sur des sujets pour lesquels ils risquent d’être persécuté : ainsi ceux-ci renoncent et l’accès à l’information libre est restreint. Par exemple, en Chine  un internaute qui publie un message jugé diffamatoire risque une peine de 3 ans d’emprisonnement. Ensuite, dans certains pays autoritaires (Turquie, Chine…) les autorités coupent fréquemment l’accès aux réseaux sociaux et/ou internet dans le but de limiter l’accès aux informations libres qui pourraient créer l’opposition. Ainsi, le document 3 explique qu’au cours des 15 dernières années le blocage du web chinois par le Grand Firewall de Chine n’a fait qu’augmenter.

1. Les individus peuvent échapper au contrôle de l’information par les autorités politique nationales par divers moyens.  Tout d’abord, ils peuvent user d’outils et de logiciels de pays étrangers : les serveurs proxy http permettent d’accéder à des sites bloqués et les VPN permettent de faire croire que la connexion vient de l’étranger. Les individus peuvent également tromper la vigilance des autorités en usant des émoticônes. Par exemple, face à l’interdiction du #MeToo les féministes l’ont remplacé par un bol de riz et un lapin. Enfin, comme le suggère le document 4, les individus peuvent également avoir recours à des moyens de communication plus surs et loin des menaces nationales. Ainsi, la radio Radio Erena est tenu par Biniam Simon qui est un journaliste en exil et refugié politique qui dirige sa radio et la diffuse en Erytrée depuis la capitale française.

1. L’accès à une information libre et indépendante est un enjeu politique important. Tout d’abord, celle-ci dépend du régime mise en place puisqu’ en fonction de la compatibilité de l’information avec le régime en viguer alors celle ci pourra être libre et indépendante. Cela est rarement le cas dans les pays autoritaires. Dans ces pays, le régime politique en place use de moyens direct comme la censure, l’emprisonnement de journaliste, des menaces… et de moyens indirectes, comme des lois politiques et l’usage fréquent de coupures internet, sont mis en places dans le but de limiter la liberté et l’indépendance de certaines informations. Ensuite, l’accès à une information libre et indépendante est un enjeu politique majeur en raison des problématiques politiques qui sont mises en vigueur et les moyens utilisés pour les contourner. En raison de l’incompatibilité avec le régime mis en place dans un pays, la censure de l’information peut être contourné en changeant de pays et par conséquent de régime politique. C’est le cas de Biniam Simon, qui est un journaliste en exil et réfugié politique à Paris qui de la capitale permet à sa radio de diffuser l’information de manière libre et indépendante. Ainsi comme nous venons de le voir, l’accès à une information libre et indépendante est un enjeu politique important car elle dépend du régime politique mis en place et s’entoure de problématiques politiques qui peuvent être contourner.

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