Résumé de texte évolution du droit

Le droit doit avoir une finalité implicite aux règles. En fabrication, on suppose qu’un résultat est visé mais lequel ?

Est-il individuel ou collectif, utile à la nation ou à chacun, et équitable ou épanouissant ?

Il voudrait d’abord la justice. Pourtant vétéran, le mot justice est pour certain insignifiant. La justice doit elle être sociale,absolue, relative et générale ou particulière ? Son role hellénique de « rendre à chacun le siens » prime devant un progrès ou une utilisation égoïste. Près d’une justice confortable, les individualistes l’imaginent utopique, ce que les juriste accuse de contrefaçon. Eux, qu’ils la voient relative et concrete ou absolue et abstraite sont pareils pour les scientistes du droit, pour qui la logique grecque se décharge de savoir ce qui est du à chacun.

D’autres pensent qu’elle empêche l’accomplissement individuel.

Si on voit le droit comme une règle de conduite, ces rapports du droit est cachée par des rapports sociaux qui font du droit un instrument de morale.

Au XIII, le droit protège l’individu, car l’homme, présociale, l’utilise pour s’épanouir et immunisé sa volonté libre. Le droit est contractuel. C’est l’attribut donné à un sujet et non l’accès à l’articulation des rapports sociaux. Or, en Grèce, ils organise la cité, l’individu est une « partie dans le tout ». À Rome il sert l’utilité publique. Après, l’individu est une partie dans la cité et la cité, une partie dans la cité divine. Ensuite, la loi vise le bien commun. Aux lumières, le contract sociale et le communautarisme amène le droit vers ce que Hegel annonce comme un service à la communauté. Le droit est national. Il n’est plus un produit du contract sociale mais un consensus volontaire des individus, pour eux. L’état, souple, ajoute des libertés plus qu’il n’en détruit.

Mais cet objectif commun pour lequel on crée du droit à la reproche d’avoir activé les totalitarismes.

Enfin, le but du droit est pluriel. Il satisfait des objectifs. Il est une médiation entre le juste et le raisonnable, entre l’individuel et le social, entre le consensus et le conflits.

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