Note structurée d'économie

NOTE STRUTURÉE ECONOMIE.

Intro :

La demande de blé est croissante, en effet car, coté demande, le facteur déterminant est l’accroissement de la population mondiale et de son niveau de vie.

La demande de blé évolue ces dernières années entre 676 et 706 millions de tonnes par an, ce qui fait 706 tonnes en 2014-2015.

Notons bien que 20% de la production mondiale de blé se trouve sur les marchés. En 2014-2015, les exportations mondiales de blée s’élevaient à 146 millions de tonnes pour une production de 713 millions.

1. L’évolution du cours de blé.

Les plantations, notamment aux Etats-Unis, est l’un des plus gros exportateurs, ainsi que la météo.

Les cours du mais ont atteint un pic en janvier 2007, donc lors des semis printemps qui ont suivi, les producteurs de céréales américains ont diminués la part de leur culture dédiée au blé au profit du mais alors plus rémunérateur, ce fut donc un premier indice de hausse possible des cours du blé et de baisse des cours de mais.

A savoir que s’il y a une météo clémente, la rentabilité sera donc forte, donc l’offre sera importante et il y aura également une chute des cours.

Tandis ce que s’il y a une météo capricieuse il y aura une baisse des rendements donc une chute de l’offre et une hausse des prix.

D’après une étude parue en 2012, les cours des six matières premières évoluaient parallèlement avec ceux des 500 plus grandes entreprises qui composent l’indice boursier SetP.

 Le prix de la tonne de blé dépend de moins en moins de l’offre et de la demande, mais de plus en plus d’une spéculation purement financière.

1. L’offre de blé ces dernières années ainsi que leurs causes.

Le rapport mensuel du ministre américain de l’Agriculture, l’USDA, a confirmé les prévisions de nouveaux record de matières premières agricoles dans le monde en 2014. Ils ont revu à la hausse de 10 millions de tonnes ses prévisions de blé par apport à juillet, soit une production record de 716 millions de tonnes de blé dans le monde, dont 6 millions supplémentaires en provenance de la Russie et de l’Ukraine.

En France, premier producteur de céréales européen, le ministère de l’agriculture a lui aussi revidé à la hausse ses prévisions. Le blé dépasserait les 37 millions, avec un rendement de 75 quintaux par hectare, soit un de mieux que l’an dernier.

Sur le marchés, les cours des matières agricoles ont donc continué leur chut.

1. L’influence de la variation des prix sur les décisions des agents économiques.

La production de blé a connu des moments faibles, en effet en 2009 il y avait « seulement » 686 tonnes de blé tandis ce qu’en 2014 il y avait 721 tonnes.

En 2013, le plus gros producteur était la Chine avec 122 tonnes de production de blé comparé à la France qui était à 37 tonnes.

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