La Dignité

La dignité

Introduction

C’est un thème très important car c’est un principe fondamental qui concerne l’humanité.

C’est un principe intangible, qui ne bouge pas.

C’est une valeur et une notion qui a évolué dans le temps.

La dignité introduit un droit assez tardivement (droit de l’Homme par l’ONU).

Elle est ensuite intégrée dans tous les pays membres (dont la France).

C’est en 1994 avec les lois de bioéthique intègre grand principe au dessus de la loi.

La dignité humaine est un principe à valeur constitutionnelle.

Il faut connaître les droits des patients → codifie les règles → obligation pour les soignants.

I -  La dignité comme qualité inhérente à la personne humaine

Droit = Protection de l’être humain

Dignité humaine est un outil juridique pour la protection de l’être humain

A -  Dignité fait naître la personne humaine

1 -  La définition de l’être humain

Être humain : être vivant qui possède des caractéristiques…..

→ le distingue : poser des questions, y répondre, envisager le pour et le contre, réfléchir avant d’agir.

2 -  La personne humaine

Homme : Mammifère primate, possède génome humain…..

 a -  La confiance de soi

Il réfléchi au sens de son action → confiance de soi.

Personne ne peut être utilisé comme moyen.

Homme est un être libre et autonome (grâce à sa confiance → peut prendre décision seul).

Le droit considère que l’homme est sujet au droit et a des obligations.

b -  La confiance de l’autre

La  de soi porte à la reconnaissance de l’autre comme personne → concept d’altérité et valeur sociale.

Homme ne vit pas tout seul → vit par rapport aux autres.

Homme est un sujet social ET moral → conscience → acte → responsabilité.

L’Homme est donc un être responsable.

C’est parce que j’ai la faculté de libre arbitre et de jugement que je peux manier mon action de manière à ce qu’elle ne nuise pas à autrui.

→ Principe de responsabilité relictuel.

3 -  Notion juridique

Le droit considère que l’homme est sujet au droit et a des obligations

La personne humaine est autonome, qui entretien des relations avec soi-même et avec autrui, elle reconnaît la même nature de personne à l’autre et le fait de reconnaître à l’autre la qualité de personne fait naître la dignité humaine.

La dignité est donc un ensemble de qualité que possède une personne et ne peut être retiré.

B -  Les différents sens de la dignité humaine

1 -  La dignité est au départ une fonction sociale

La dignitas (fonction sociale) perdure encore aujourd’hui, elle incarne maintenant une fonction morale.

2 -  La dignité a des religieuses

La dignité est un ancien testament.

L’ancien testament met l’accent sur la responsabilité de l’Homme.

En effet, l’Homme doit être digne.

Dignité : valeur universelle.

L’égal dignité des Hommes.

Coran → dignité humaine est un attribut de l’être humain

3 – Dimension moral de la dignité de la personne

Philosophie s’empare de la notion de la dignité, elle se détache de la religion, c’est la raison qui donne la dignité d’une personne.

II -  Notion de dignité humaine : Principe juridique

La dignité humaine s’attache à protéger l’Homme.

Elle est devenue un principe important et qui remplace presque la place que tenait la religion auparavant.

A -  La protection de la dignité par la constitution internationale

C’est la valeur qui est le fondement des droits de l’homme.

. 28 États de l’Union Européenne → charte des droits fondamentaux en 2000 → évoque le fait de défendre et de respecter la dignité.

. Cour Européenne des Droits de l’Homme à reconnu la dignité et la convention reconnaît l’interdiction de la torture,… .

. La médecine, la biologie…

B -  La protection de la dignité par le droit national

Dignité de la personne doit être respecté même dans le milieu du travail (détenu, mourant, patient,…) → Mise en place des lois pour les protéger.

Respect de l’intégrité du corps humain.

Droit s’attache à la protection du corps de la personne, d’abord par le comportement mais depuis la loi de 1993, le corps de la personne est protéger par la primoter de la personne humaine.

« Le principe de primoter de la personne humaine est l’interdiction de toute atteinte de sa dignité ».

Loi bioéthique de 1993 pose les grands principes :

Le principe d’inviolabilité du corps humain : le corps de chacun doit être respecté, nul ne peut/n’a le droit d’y porter atteinte SAUF pour l’intérêt thérapeutique d’autrui (prélèvement d’organes) et nécessité médicales MAIS pour qu’elles soient l’égales il faut le consentement de la personne. En cas d’urgence vitale, le consentement de la personne n’est pas nécessaire. Il existe aussi des vaccinations obligatoires pour la protection de la société (donc pas besoin de consentement).

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