ADM1400, TN1, théories de l'organisation
Dissertation : ADM1400, TN1, théories de l'organisation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Hélène Lévesque • 28 Août 2017 • Dissertation • 2 269 Mots (10 Pages) • 2 528 Vues
ADM 1400 | [pic 1] |
Théories de l’organisation |
TRAVAIL NOTÉ 1
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Feuille d’identité
Nom Lévesque Prénom Hélène
Numéro d’étudiant 07357236 Trimestre Été 2017
Adresse 6, rue Mainville, Ste-Thérèse, Québec
Code postal J7E 4V6
Téléphone Domicile (514) 357-4824 Travail
Cellulaire
Courriel levesque.helene@univ.teluq.ca
Nom de la personne tutrice M. Claude Roy
Date d’envoi 31 juillet 2017
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Réservé à l’usage de la personne tutrice
Date de réception Date de retour
Note
Dans le cadre de ce premier travail noté, pour commencer je vous présenterai l’organisation que j’ai choisie. En deuxième lieu, je ferai l’analyse diagnostique selon la métaphore de la machine, ensuite l’analyse de mon organisation comme si elle était un organisme et pour conclure ma vision de cette entreprise vue en tant que cerveau.
La présentation
L’organisation que j’ai choisie se nomme Jadou et les Minis, était un service de garde privé que j’ai opéré de février 2008 à septembre 2012. L’entreprise comptait moi-même à titre de gestionnaire, éducatrice, cuisinière, femme de ménage, aide comptable et j’en passe. À quelques reprises j’ai engagé mon ancienne belle-mère à titre d’éducatrice remplaçante.
L’idée d’ouvrir une garderie m’est venu du fait que j’avais des enfants en bas âge et qu’il m’était difficile de trouver un endroit où je pouvais les laisser tout en ayant l’esprit tranquille, à l’inverse pourtant, lorsque j’ai cessé les activités c’était que j’avais à nouveau besoin de socialiser et de travailler à l’extérieur : ma fille commençait la maternelle ce même automne ; coïncidence !?
Avant d’officiellement m’investir dans cette aventure et d’y mettre du budget, les mois précédents, j’ai publié des annonces dans les journaux locaux ainsi que sur différents sites internet afin de voir s’il y avait un créneau dans mon secteur ou bien si le marché était déjà saturé.
À la suite de plusieurs rencontres j’ai pu constater que mon entreprise pourrait être viable dans ce secteur de service relié à l’éducation de la petite enfance. J’ai donc commencé à rédiger les contrats, la régie interne (les règlements de ma garderie) ainsi que les autorisations diverses que les parents devaient signer, comme par exemple pour autoriser la prise de photo.
Mon service de garde n’étais pas affilié à un centre de la petite enfance, je n’étais pas accrédité par le Ministère de la Famille et une accréditation n’étais pas une de mes priorité et ne le devint jamais. Je fonctionnais de la même façon qu’une garderie accréditée respectant également la ration enfant/éducatrice soit, six enfants maximum, ainsi que deux poupons maximum (enfant de moins de 18 mois) et ce, incluant mes propres enfants.
Le tarif par enfant était de 22.00$ par jour, payable chaque vendredi ou selon entente avec nul autre que moi. Ce tarif incluait 2 collations santé, un repas sain et équilibré selon le guide alimentaire canadien, ainsi qu’un programme éducatif adapté à chaque enfant et bien sûr des soins et une surveillance de qualité.
La garderie était ouverte du lundi au vendredi de 7h00 à 17h00 à l’exception des jours fériés ainsi que lors de mes vacances annuelles. Une semaine de travail représentait donc cinquante heures en tant qu’éducatrice et à cela un autre trente heures se rajoutant pour les courses, la désinfection des lieux, la planification des activités, la gestion des dépenses et des revenus, la rédaction des Petites Nouvelles (journal mensuel de la garderie) Donc environ quatre-vingt heures de travail consacré par semaine pour avoir une entreprise prospère et rentable.
En 2010 l’entreprise, pris une différente avenue, au lieu d’axer mes activités sur une clientèle régulière à temps plein, j’offris le service de halte-garderie. Cette option ne semblait pas vraiment courante dans la région et ce fut un vif succès.
Le concept était que le parent pouvait réserver le nombre d’heure voulu durant mes heures normales d’activité, moyennant un tarif de 5.00$/l’heure, payable le jour même, sans contrat, tout en ayant les même services que les clients réguliers. Service qui perdura jusqu’à ce que je cesse les activités de la garderie.
Septembre 2012, après un moment de réflexion même plus qu’un je dirais, j’ai alors décidé qu’il était temps pour moi de passé à de nouveaux défis. J’avisai donc les parents, mes clients donc certains étaient devenus de bons amis; un bon moment à l’avance que je fermais définitivement les portes. Ce fût une belle aventure qui m’a apporté des moments magiques et du temps précieux avec ma famille tout en étant capable de bien «vivre». Certes, je ne revivrais pas l’expérience mais je suis à cents lieux de regretter mes choix.
Mon organisation vue comme une machine
Après analyse je peux affirmer que le service de garde était une organisation mécaniste. Une routine est implanté quotidiennement, afin d’assurer une stabilité et une sécurité aux enfants qui est indispensable dans ce type d’organisation. Les repas, les collations, la sieste et les ateliers sont réalisé à heure fixe donc la plupart des tâches sont répétitives dans une journée typique.
Les activités de conception sont exécutées hors des heures d’ouverture car ce sont les tâches de comptabilité et de planification de la semaine principalement. Les activités d’exécution sont quant à elle réalisées sur la plage horaire d’ouverture de la garderie soit du lundi au vendredi de 7h00 à 17h00, ces activités sont la routine du service de garde et mon travail d’éducatrice.
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