Fiche Montaigne
Thèse : Fiche Montaigne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mamaprune • 24 Avril 2016 • Thèse • 327 Mots (2 Pages) • 809 Vues
Fiche Montaigne
Epicurisme : jouir des bienfaits de la vie et dans un temps présent, immédiat.
-> l’homme doit être bien fait, il ne doit pas se mépriser. Ne pas confondre maladie et déplaisir. Il faut savoir regarder la douleur et la volupté de la même façon.
-> les mauvais moments sont vite passés et oubliés alors que les bons sont retâtés et on doit s’y assoir.
=> épicurisme de Montaigne par opposition aux autres qui laissent échapper leur vie. Approche particulière du temps -> dualité du désir : naturels (besoins vitaux comme boire et manger) et corporels (qui font partie de la nature humaine). il ne faut pas se priver des besoins vitaux à outrance (comme l’a fait épiménide) ni les augmenter. Ce qui est naturel est digne d’estime.
-> Considère son discours comme humble. Pour lui, la philosophie ne philosophe pas/mal lorsqu’elle admet farouche l’alliance de 2 choses opposées. La jouissance c’est de profiter des plaisirs de l’âme induit par des plaisirs du corps.
-> Pour Socrate, prisant la volupté corporelle mais préférant celle de l’esprit car plus de force, dignité, facilité. L’esprit va seul, la tempérance n’est pas adversaire de la volupté -> Il faut satisfaire les désirs du corps et pas seulement comme moyen de procréation. Ces désirs sont tous aussi digne que les naturels/vitaux. Il s’oppose dès lors au catholicisme et stoïcisme (chasteté et abstinence -> condamne les plaisirs liés au corps ou à la chair).
-> La perfection est de savoir jouir de la vie. Il faut saisir la vie maintenant et pas après la mort. Il y a une sagesse liée à un certain art de vivre. L’homme n’est pas malheureux par essence (thèse défendue par Pascal). L’espérance est alors une illusion -> situation d’attente (on ne saisi pas le bonheur).
=> S’oppose à Pascal dont le plaisir/bonheur se trouve après la mort
=> Conclusion : Amour pour la vie et l’épicurisme. Morale de l’instant et du plaisir donc une morale d’existence.
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