Sommes-nous ici pour jouer ou pour travailler?
Dissertation : Sommes-nous ici pour jouer ou pour travailler?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar uqamgang • 5 Février 2021 • Dissertation • 1 044 Mots (5 Pages) • 442 Vues
Ivan Pacheco
340-FNC-RO PROBLÈMES ÉTHIQUES DE LA SOCIÉTÉ CONTEMPORAINE
Groupe 02
Travail et Jeu
« Sommes-nous ici pour jouer ou pour travailler? »
Travail présenté à
M Jean-Pierre Lorange
Collège de Rosemont
Le 18 déc. 15
Travail et Jeu. « Sommes-nous ici pour jouer ou pour travailler? »
S’il fallait trancher si l’homme existe pour jouer ou pour travailler, il faudra dire qu’il existe pour travailler, même si le fait de jouer serait présent. Déterminons un peu le mot travailler et le mot jouer.
Le mot travail a tout d’abord plusieurs définitions. Sous le latin elle peut représenter un instrument formé de trois pieux auquel on attachait les animaux et aux esclaves. Ce même mot peut signifier tourmenter et torturer. Chez plusieurs religions et croyances, le travail a été donné à l’homme et la femme, car ils n’ont pas obéi à Dieu. Pour d’autres, le travail c’est introduit dans le monde et a substitué l’intimité. Ce même travail aurait fait en sorte que le moment présent ne soit plus si important, mais le résultat après certaines opérations serait priorisé. De plus, le travail exige de la part des travailleurs de la concentration, maitrise de soi, de la discipline, l’obéissance à des règles, à des méthodes, des normes et plusieurs autres encore. Non seulement cela, mais encore il faudra que l’individu s’abstienne de plusieurs activités de nature humaine telle que manger, boire, avoir des rapports sexuels, dormir et d’autres encore.
Le jeu est considérer le contraire du travail. Dans le sens, qu’elle s’y oppose. Elle est en opposition, car elle libère les forces et les activités qu’il faut retenir durant le travail. C’est une libération en quelque sorte pouvoir jouer. Le jeu est mis au même niveau de l’art. L’art est un autre élément qui fait en sorte que l’être humain soit libre du travail. Cependant, il est un jeu, et ne sert donc à rien. Même si certaines personnes jouent en contestation du travail, cela ne sert à rien, car les forces pour travailler seront toujours présentent qu’on décide de les ignorer ou de les oublier. Le fait de jouer représente une libération du travail. Cependant, jouer nous ramène à un état animal où l’on ne réfléchit pas. Donc à un recul. Ce recul ferait en sorte qu’on reproduise les erreurs du passé, encore une fois ce serait un emprisonnement pire que celui du travail.
Le travail fini par être un divertissement, car elle divertit l’humain en l’obligeant à penser et réfléchir à autre chose de ce qui nous attend à l’extérieur du travail. Il n’est pas possible d’amener sa famille à la maison, mais à bien y penser il est possible d’amener le travail à la maison. Le travail fait en sorte que le travail acquiert une valeur. Cette valeur dépendra du travail qu’on fera et de ce qu’elle ramène en argent. Cet argent permet de faire plusieurs trucs qui étaient non accessibles, donc le travail libère et nous libère. Elle nous libère pour pouvoir jouer à des meilleurs jeux que ceux qui nous ne sont pas accessible sans argent. Car si l’on est dans l’état animal, on sera comme tout autre animal qui ne connaît pas le désir qui mène à l’érotisme, ni la jouissance, ni l’extase. Grâce au travail ce qui n’est pas un jeu en devient un et pour autant devient des meilleurs jeux. Le jeu est libre dans ses intentions et dans ses fins. La vie n’a plus autant de valeur, grâce au travail on lui donne une plus grande valeur. L’homme se sentira plus utile et valorise, car elle aura un rendement et un effort à faire pour y arrive. Tandis que le jeu n’aide en rien à personne. Chaque objet que l’humain possède ne serait pas valorisé, car la valeur d’une marchandise est déterminée par sa valeur d’usage, sa valeur d’échange ce qui est affecté par l’offre et la demande et enfin le temps de travail. Ce temps de travail détermine le temps appliqué pour produire un produit avec une habileté, une force, etc. Chaque personne ne fait pas le même travail de la même manière et des fois certaines donnent des meilleurs résultats, donc la personne se sentirait plus utile que si seulement elle était en train de jouer. Tel que mentionné précédemment, le travail fait en sorte que le travailleur doit être discipliné, concentré et obéissant. Pour pouvoir remplir ces trois critères, il faut qu’il pense et qu’il utilise sa raison. Sa pensée fera en sorte qu’il comprend les causses et effets. Par exemple, lorsqu’il fabrique une arme il se dit : je fais une arme pour tuer. Il valorisera aussi le temps, car son temps vaut de l’argent et il comprendra aussi pourquoi il travaille. Par exemple, il sait qu’il va tuer pour manger, car sans cela il ne peut pas vivre. Sa discipline donnera comme résultat, une concentration et cela fera qu’il aura une maîtrise de soi. Pour pouvoir réussir à se maîtriser, il devra connaître ses interdits et ses limites. Sans cela il pourrait être sauvage et personne ne sera là pour faire justice ce serait la loi du plus fort. Depuis très longtemps, l’homme (australopithèque (homo habilis)) et l’homme Neandertal ont compris qu’ils devaient travailler pour survivre. Ils ont fabriqué des outils (armes) pour chasser, pour ainsi manger, vivre. Ils ont réussi à faire des liens et pour réussir les buts ils ont dû travailler. Sans cela on n’existerait peut-être pas. Le travail est une nécessité pour l’homme, car sans cela sur le plan matériel il ne pourrait pas avoir un certain confort ni être placé dans un haut rang social. Sans cette position, il n’aurait pas certains contacts ni privilège. De plus le travail amène une valeur intellectuelle et grâce à cela mener une meilleure vie pour être plus instruit et être d’une plus grande valeur envers les autres personnes. Le travail fini donc par amener ses bénéfices et des avancements pour celui qui travaille et son entourage.
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