Sommes Nous Libre De Notre Opignon ?

Voilà, j'ai une dissert' de philo à rendre vendredi, "Sommes nous libre de nos opinions?", ca fait une semaine que je suis dessus et je n'avance à rien, j'ai mal à la tete, c'est atroce. Je n'ai pas un plan concret mais pourtant pleins d'idées, je n'arrive pas à structurer et j'ai peur de pas faire un devoir assez gros..

Quelqu'un pourrait me rendre un énorme service en m'aidant cry:{} ?

Merci d'avance. (je poste ce que j'ai écris ci dessous)

Sommes nous libre de nos opinions ?

Le sens commun pense que nous sommes libre. La plupart du temps si l’on demande a un homme « etes vous libre ? » il vous répondra spontanément, et presque en se moquant que oui, il l’est. Cet homme est donc la représentation du sens commun. Pour lui, être libre définit le fait d’obtenir ce que l’on veut, de viser un but et y arriver. En effet ce n’est pas faux car lorsque l’on veut quelque chose et que l’on y arrive pas, le sentiment de contrariété qui en écoule nous mène à ne pas nous sentir libre. Néanmoins ce sentiment de liberté est faussé car la liberté n’est pas le fait d’avoir ce que l’on veut mais de tout simplement choisir. Choisir avec autonomie, en obéissant donc uniquement à ses propres initiatives. Le sens commun se croit libre. Libre car les questions qu’il se pose sont résolues par des opinions. Certes, l’homme aura toujours des questions mystiques, auxquelles il ne trouvera peut etre jamais de réponses (qui sommes-nous ? pourquoi sommes nous la ?..). C’est alors que cette fausse liberté qu’est l’opinion joue son rôle. Elle donne une réponse au sens commun. Cette réponse confortera les hommes car après tout ils se diront avoir atteint leur but, c’est-à-dire trouver une réponse. Mais sans en être conscient, cette réponse sera pour eux un leurre, une fausse liberté. Car pour être libre de ses pensées il faudrait déjà commencer par connaitre la véritable définition de la liberté, et en fait d’etre conscient de l’inconscient.

Donc l’homme croit etre libre de ses opinions. Hors, il ne l’est pas. Car même en prenant la définition philosophique du terme donc faire des choix autonomes, cela ne marcherait toujours pas. Nous naissons et vivons dans un contexte social, culturel et politique, quel homme pourrait naître telle une feuille de papier blanche et ne jamais absorbé l’encre qu’est le vécu. Au cours de sa vie l’homme se forge, même lors de l’enfance. Par exemple un enfant d’un an ne sachant pas parler, ayant donc la vue, le toucher, l’odorat et l’ouïe sera influencé inconsciemment. Admettons que sa mère soit blonde et mette de très hauts talons qui la rendent donc grande. L’expérience à faire serait de déguiser une femme (anonyme à l’enfant) avec une perruque blonde et des talons puis une autre femme (toujours totalement anonyme à l’enfant) qui serait cette fois ci petite et brune. Par la suite, de demander à l’enfant de se diriger vers la première femme (blonde et grande) ou la deuxieme (brune et petite). Il ira forcément vers la première, celle qui ressemble à sa mère mais qui n’est en fait pas sa mère biologique. Nous verrons donc que malgré ses 1 an d’existence ,

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