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On a l’habitude de penser que nous somme libres, et être libre c’est faire ce que l’on veut

Dissertation : On a l’habitude de penser que nous somme libres, et être libre c’est faire ce que l’on veut. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  21 Février 2016  •  Dissertation  •  692 Mots (3 Pages)  •  1 212 Vues

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1) Thèse : On a l’habitude de penser que nous somme libres, et être libre c’est faire ce que l’on veut. En effet, quotidiennement nous nous sentons libres car nous avons l’impression de faire nos propres choix et d’être propre maître de ses actes. Cependant dans cette extrait du Discours de la servitude volontaire, La Boétie montre que le peuple se pensent libre et se contentent de leurs sorts misérables alors qu’en effet ils sont responsable de leurs propres pauvreté par leurs ignorance et par leurs bêtises du fait qu’ils soient assouvit par des loisirs ou plaisir.

L’intérêt du texte c’est de montrer le peuple se pensent libres alors qu’il se fait contrôler par un tyran qui les manipulent et leurs prend leurs libertés et ce qu’ils possèdent. Et le paradoxe c’est que en leurs jetant des miettes de liberté et de richesse il assouvit son pouvoir et ses biens. Boétie se demande pour quelles raisons les hommes acceptent de servir sans se révolter ? Comment un seul puisse commander tous le peuple ?

Etapes de l’argumentation : Tout d’abord au début du texte, on peut voir qu’il installe le contexte et qu’il emploie un champ lexical dur avec des mots tels que « servitude » « drogue » « tyrannie ». Il commence tout de suite par parler des divertissements qui soumettent le peuple et les moyens de la tyrannie. Ensuite il parle du peuple et emploie le mot « abrutis » qui permets de supposer que le peuple est totalement ignorant. Dans le second paragraphe Boétie compare avec les tyrans romains et donne un exemple d’une tyrannie et développe un exemple de moyens d’assouvissement. On peut voir ici qu’il emploie le mot « canaille »pour les définir, ce qui est un terme dégradants et peu gratifiants, Boétie veux vraiment insister sur l’ignorance du peuple.

2) 2.1) Une drogue c’est quelque chose que l’on aime, dont on est dépendants, dont on a besoin pour vivre, une chose dont on ne peut psychologiquement plus se passer. Une drogue conduit au désir de continuer à consommer la chose pour retrouver la sensation de bien-être que cela procure. Ici le théâtre, les jeux, les farces, les spectacles, les gladiateurs (..) sont des drogues pour le peuple, car ils aiment ça, ne peuvent plus vivre sans après y avoir goûté. Les divertissements sont un piège du tyran pour ôter la liberté du peuple, c’est un appa que le tyran utilise pour endormir le peuple qui est soumis. Le peuple est aveugle grâce à ses divertissements et n’ouvriront les yeux que lorsqu’ils développeront leurs raisons et leurs conscience et de soulever ce tyran qui leurs ôtent leurs liberté et leurs biens. Autant de moyens de contrôler le peuple en assouvissant ses désirs les plus bas.

2.2) On peut donc encore une fois reliée cette phrase aux drogues, le peuple est abrutis par ces divertissements, car grâce à ses divertissements, le peuple oublie la tyrannie et la monstruosité du tyran. Le tyran les endort avec ces cadeaux et ses fêtes, il montre encore une fois qu’il contrôle le peuple qui est ignorants car ils s’abrutissent eux même en étant les objets du tyran. Pour maintenir son pouvoir, le tyran cherche à abrutir ses sujets.

2.3) Le tyran est un homme faible contre les autres, seul les ignorants peuvent l’idolâtrer, le tyran n’aurais jamais ce qu’il possède si il ne voler pas le peuple. Le peuple lui-même

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