DM de philosophie stmg

Comprendre les notions de justice et d’égalité à partir de celles d’injustice et d’inégalités

1. Analyser le texte pour dégager les données du problème

1.     Rousseau distingue des inégalités naturelles/physiques et morales/politiques. Les inégalités naturelles/physiques découlent de différences d'âge, de santé, ou d'autres caractéristiques physiques, elle ne peut être remise en cause. L’inégalité morales/politiques dépend d’une sorte de convention, elle est autorisée par le consentement des hommes. Celle-ci consiste dans les différents privilèges dont quelques-uns jouissent, au préjudice des autres.
2. Les différences qu’il y a entre ces inégalités sont le fait que : les inégalités naturelles ne peuvent être modifiés, ces inégalités sont physiques, présentent depuis toujours et issu du destin. Alors que les inégalités morales sont résultats des décisions prises par les Hommes au sein de la société même.
3. Les « qualités de l’esprit » évoqués par Rousseau sont, chez les Hommes : les idées, la façon de réfléchir, les idéologies qui sont propres à chacun en fonction de leurs vécus et de l’éducation.
4. L’auteur compte ces « qualités de l’esprit » dans la catégorie qu’il appelle « physique » car cette caractéristique est une force propre à chaque individu, qui n’est pas choisis par les individus, elle ne peut donc pas être remis en cause c’est donc une inégalité naturelle.

1. Réfléchir aux limites du problème

1. Rousseau affirme qu’il est inutile de se demander cela car ces inégalités sont justement « naturelles », on ne peut les changer, elles ne peuvent être remise en cause.
2. Un privilège est un droit particulier, accordé à quelqu'un ou à une certaine catégorie de population au préjudice des autres, (être plus riche, plus honorés…).
3. Le rapport logique que Rousseau refuse d’établir entre les inégalités naturelles et civiles est

Pas compris la question

1. Rousseau refuse d’établir ce rapport car sachant que c’est une inégalité établie par le consentement des hommes et non de la nature, cela reviendrait à se demander, en d’autres termes, si ceux qui commandent valent nécessairement mieux que ceux qui obéissent, et si la force de l’esprit ou du corps, la sagesse ou la vertu, se trouvent toujours dans les mêmes individus, mais il n’existe pas vraiment de réponse pertinente à cela : les points de vue dépendent de « la qualité de l’esprit » de chacun et donc sa revient à se demander quelle inégalités et « meilleur » qu’une autre.
2. Il faudrait être « esclave » pour établir ce rapport car il ne sera plus question du consentement des hommes mais d’une  « inégalité naturelle » et elle ne serait donc plus remise en cause.

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